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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 13:25

enfant22[1]Quand le bonheur s’apprend à l‘école

 

Parce qu‘être heureux relève aujourd’hui d’une impérieuse obligation, recettes et modes d’emploi foisonnent. Le succès d’un jeune psychologue israélien, Tal Ben-Shahar, qui remplit les amphis de Harvard, relance l’idée que le bonheur peut s’inculquer.

 

 

 

Tal Ben Sahar était de ces adolescents à qui tout réussit. Un physique avantageux, une vie sociale épanouie, de brillantes études et, pour couronner le tout, des talents d’athlète prometteurs… Manquait pourtant une chose à ce tableau idyllique : le bonheur. « À 16 ans, je me suis rendu compte que le bien-être dépendait plus de ressources internes que d‘éléments externes, et c’est ce qui m’a poussé à étudier la psychologie positive », raconte l’auteur de L’Apprentissage du bonheur (1).

 

Aujourd’hui, cet Israélien de 37 ans donne des « cours de bonheur » à l’Université de Harvard, aux États-Unis. Peu suivi à ses débuts, ce cours est en quelque temps devenu le plus prisé du campus. En trois ans, sa fréquentation est passée de 6 élèves à plus de 800 ! Un succès qui n‘étonne guère le jeune enseignant : « La plupart des étudiants ayant suivi mon cours s’en sont trouvés plus heureux et ils en ont parlé autour d’eux. » Soit. Pourtant, ce cours n’a rien de révolutionnaire aux États-Unis, où le courant de la psychologie positive – l‘étude « scientifique » du bonheur – est très vigoureux.

 


Bon sens et hygiène psychologique

 

 

À ce jour, plus de 200 universités américaines ont intégré cette discipline dans leur enseignement. Et cet engouement est en train de gagner la vieille Europe. À l‘école Willy-Hellpach de Heidleberg (Allemagne), le cours de « Préparation à la vie » fait un carton auprès des élèves (voir nos éditions du 22 octobre 2007). En Grande-Bretagne, le très huppé Wellington College a également cédé aux sirènes de la psychologie positive. Depuis plus d’un an, les lycéens de cet établissement privé ont droit à leur leçon de bonheur deux fois par mois. « Nous vivons une époque où les jeunes sont obsédés par l’argent et la célébrité, explique Ian Morris, professeur de philosophie à Wellington. Tout l’objet de ce cours est de les recentrer sur une vie faite de sens et de valeurs, vraie clé de l‘épanouissement. »

 

 

 


Du bon sens et de l’hygiène psychologique

 

 

Mais peut-on réellement enseigner le bonheur comme une matière scientifique ordinaire ? L’exercice est risqué car il n’est rien de plus indéfinissable et subjectif. Personne n’est également heureux des mêmes choses. Comme le rappelle le psychiatre Christophe André, « on a la quasi-certitude que 50 % de notre aptitude au bonheur provient d’une base génétique. Les 50 % restants dépendraient de notre mode de vie et surtout de nos efforts personnels. » Une brèche suffisamment large, néanmoins, pour que s’y engouffrent gaillardement tous les champions de la psychologie positive. À commencer par Tal Ben-Shahar qui qualifie son cours de « passerelle entre la rigueur académique et le côté ludique des livres de self-help ou «livres d’aide» ». Autrement dit, il transforme des théories scientifiques indigestes en méthodes simples. Voire simplistes.

 

Comme celle qui consiste à instaurer des rituels capables de renforcer notre aptitude au bien-être : faire du sport une fois par semaine, méditer un quart d’heure tous les matins, s’accorder du temps pour dîner en amoureux… Le genre de douceurs auxquelles on aspire volontiers tout en ayant du mal à se les imposer. « Ce sont ni plus ni moins des conseils de bon sens et d’hygiène psychologique », remarque Christophe André, lui-même auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet (2). Et de rappeler au passage que simplicité n’est pas forcément synonyme de vacuité. De fait, certains exercices du cours de Tal Ben-Shahar exigent une vraie réflexion. Mais de là à les voir enseignés dans nos universités, il y a un pas que la France n’est pas prête à franchir…

 

 

 


Attention au totalitarisme radieux

 

 

À l‘École supérieure de commerce de Paris (ESCP), où le psychologue israélien est récemment venu faire la leçon aux étudiants, les réactions ont été mitigées. « Certains ont trouvé ce cours d’une banalité déconcertante, confie Mélanie, 23 ans. Chez d’autres, comme moi, il a provoqué un vrai questionnement. » Même son de cloche chez leur professeur, Nicole Aubert : « Ces cours de bon sens appliqués à la vie ont une vraie utilité, mais notre système universitaire est trop cartésien pour adhérer à cette approche. »

 

Trop cartésiens, les Français ? Pas si sûr… Ces dernières années, le marché des livres « psy » a explosé dans l’Hexagone. Au point que la bibliothérapie – ces livres qui nous aident à mieux vivre – est en train de gagner du terrain. Il suffit pour s’en convaincre de jeter un oeil au rayon psychologie des librairies. Vivre – La psychologie du bonheur, Plaidoyer pour le bonheur, ou encore 150 petites expériences de psychologie pour mieux comprendre vos semblables… Des manuels pratiques et accessibles qui prétendent soigner autant que divertir. Pourquoi pas.

 

« Mais attention à ce totalitarisme radieux, prévient le journaliste et philosophe Roger-Pol Droit (3). Le marché regorge de charlatans qui profitent de cette vieille aspiration humaine qu’est la quête du bonheur pour vendre des formules rapides, à la réussite garantie. » Plus surprenante est la dénonciation par Tal Ben-Shahar « du règne de la pop-psychologie qui produit des livres divertissants mais peu consistants ». Les recettes miracles du genre 5 conseils pour accéder au Nirvana, très peu pour lui.

 

Christophe André, lui, est convaincu des vertus d’une bibliothérapie bien choisie : « Si la personne n’est pas atteinte de troubles graves, cela peut s’avérer très efficace. » Christine, 33 ans, confirme. Après un deuil douloureux, elle a trouvé refuge dans la lecture des livres de Joseph Murphy, Matthieu Ricard, Christophe André...

 

« Avec le self-help, chacun peut trouver son chemin en piochant des clés universelles, assure-t-elle. Cela m’a permis de dédramatiser, de me recentrer et de me retrouver. » Caroline, jeune fondatrice, à 35 ans, de la marque de cosmétiques Bio Doux Me, est pour sa part convaincue que le bonheur ne dépend que de soi. Elle se donne les moyens de l’atteindre à grand renfort de yoga, de méditations et de nourritures spirituelles. « Mais cela demande un effort considérable, car l‘être humain est paresseux par essence », concède-t-elle. En cela, elle donne raison à un autre fin observateur de la condition humaine, Woody Allen, pour qui « la seule façon d‘être heureux, c’est d’aimer souffrir ».

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 19:57

 

images-slides-7.060705_bikini_7-1-.jpg

 

Le bikini est un petit maillot de bain féminin deux pièces composé d'un slip qui dévoile le

 

nombril et d'un soutien-gorge. En 1946, s'inspirant du nom de l'atoll de Bikini où eut lieu le

 

premier essai nucléaire américain, un fabricant de maillots de bain français, Louis Réart, lance un

 

maillot de bain "révolutionnaire" du même nom et dépose un brevet. Il s'inspire alors de la création

 

d'un autre français, Jacques Heim, qui en 1932 lança "Atome", un maillot de bain deux pièces au

 

slip plus grand et légèrement bouffant.

 

Ce vêtement transforma radicalement la tenue de plage et provoqua à l'époque un énorme

 

scandale : en Italie, en Espagne et en Belgique, le bikini fut immédiatement interdit de séjour sur

 

les plages ! Le caractère scandaleux du bikini tient à la nouveauté des deux pièces séparées, qui

 

mettent en avant la poitrine tout autant qu'elles dévoilent le ventre. Cette nouvelle forme du

 

costume de bain étonne également parce que, tout à coup et de manière explicite, maillot de bain et

 

sous-vêtement féminin ne se différencient plus que par le choix des tissus, le motif et la couleur.

 

Avant qu'elle ne soit ainsi libérée, l'image du corps, relayée par les médias, restait très rigide :

 

les maillots de bain avec des armatures baleinées, des jupettes et des renforts en mousse de Nylon

 

étaient photographiés en studio, sur du faux sable, dans des poses statiques. Dans ce contexte

 

particulier, le bikini apparaît comme un accessoire idéal pour "normaliser" le dévêtu. Le bikini

 

représente alors une aubaine publicitaire que de jeunes actrices comme Brigitte Bardot ou Jane

 

Mansfield manipulent avec brio !

 

Adopté par les stars de cinéma, le bikini devient le principal vêtement de l'été des années 1950.

 

Immortalisé sous l'aspect du balconnet en vichy rose, il devient synonyme de séduction et de sexappeal.

 

Le bikini participe ainsi au façonnage de l'imaginaire fantasmatique du sex-symbol. Il

 

adopte des motifs et des matières insolites qui tentent de retenir l'attention : l'actrice Diana Dors

 

fait une apparition au festival de Venise en 1955, vêtue d'un maillot de bain vison, tandis que Jane

 

Mansfield affiche des maillots peau de bête.

 

On reconnaît facilement que l'histoire du bikini n'est pas tant l'histoire d'un vêtement que celle

 

de l'évolution de la morale moderne. Il faudra pourtant attendre 1965 pour que le magazine Marie

 

Claire fasse faire des photographies en pleine nature, envoyant ses photographes aux Bahamas, à la

 

Martinique - retour vers ces îles qu'évoquait le mot "Bikini". A l'orée du XXIème siècle, le bikini

 

n'a pas perdu de sa vitalité et il a encore de beaux jours devant lui...

 

http://www.lamodefrancaise.org/docs/le-bikini.pdf

 

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 14:13

 

Certaines écoles mettent tout en oeuvre pour enseigner l'anglais dès le plus jeune âge. Pourquoi pas vous? www.ludo-lidia.com offre une introduction à l'anglais. 28 épisodes de 15 minutes à télécharger avec maitresse d'anglais spécialisée dans l'enseignement d'une deuxième langue aux tout petits et sa marionnette Basile. Des centaines de parents satisfaits des résultats.

 

Les principes du bilinguisme précoce

Un enfant construit sa faculté de langage entre 0 et 7 ans. Cette faculté ne se construit qu’une seule fois dans la vie.
C’est dans cette période que l’enfant développe son oreille et sa capacité à articuler des sons. Il profite de tout ce qu’il peut entendre pour se former, il expérimente en fonction de son entourage.
Plus l’enfant est exposé à des sons différents plus son appareil articulo-phonatoire sera développé. Entendre plusieurs langues est pour lui source d’enrichissement et d’épanouissement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 14:20

ADOPTION_2759955b-1-.jpgPlateforme d’échange d’enfants adoptés : satisfait ou échangé !


Nouvelle controverse sur l’utilisation des réseaux sociaux aux Etats-Unis. Un sordide marché privé d’échange d’enfants adoptés a été mis à jour par une journaliste de l’agence de presse Reuters. Près de 260 enfants ont ainsi été échangés illégalement depuis 5 ans.

 

Cette nouvelle pratique dite « private rehoming » s’est développée sur la toile au travers notamment des deux réseaux sociaux Facebook et Yahoo! qui ont facilité ce type d’échanges. Plusieurs familles en quête d’adoption proposaient d’échanger leur enfant adopté quelques jours plus tôt contre un autre susceptible de leur poser moins de difficultés.

 

Dans l’une de ces annonces, on peut lire : « Nous avons adopté une fille de 8 ans en Chine… Malheureusement, elle nous pose beaucoup de difficultés depuis notre retour à la maison il y a cinq jours ».

 

En moyenne, un enfant était échangé chaque semaine sur ces réseaux. Ces enfants, principalement adoptés à l’étranger, avaient entre 10 mois et 14 ans. La facilité de ces échanges est déconcertante puisque dans certains cas, un simple acte notarié suffisait à finaliser la transaction.

 

Cette « bourse aux enfants », jusque là inconnue des autorités fédérales américaines, a engendré des conséquences psychologiques et physiques graves pour les enfants victimes. Une jeune enfant russe âgée de 16 ans, échangée trois fois en 6 mois, a connu la peur, les violences, divers autres sévices et abus sexuels à répétition.

 

Bien que Yahoo!, face aux indignations et protestations, ait fermé sa plateforme consacrée à ce phénomène d’esclavage moderne, le réseau social Facebook de Mark Zuckerberg a maintenu la page controversée sous prétexte qu’ « Internet est un reflet de la société et les gens l’utilisent pour toutes sortes de communications, et régler tous types de problèmes, dont des soucis très compliqués comme celui-ci ».

 

par Jordan Mancel

 

http://blog.economie-numerique.net/tag/private-rehoming/

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 12:50

num-rique-cole-cole-numerique-machereaux_1457421-1-.jpgAvant les tablettes, Élise Bouterige, directrice de l’école des Machereaux, aimerait obtenir des ordinateurs portables pour ses élèves, comme bon nombre de ses collègues berruyers interrogés. - vmayet

Les premières tablettes numériques arrivent dans les écoles primaires de Bourges mais le débat n’a pas encore eu lieu au niveau national. Qu’en pensent les instituteurs et les psychologues??

Le débat sur l’introduction du numérique aura-t-il lieu un jour?? Si les professeurs des écoles ne le savent pas, ils ont beaucoup à dire sur le sujet. Les psychologues aussi.

« L’arrivée du numérique, l’e-éducation, à l’école primaire, n’est pas naturelle mais culturelle et politique. C’est pour cette raison qu’elle devrait être débattue », explique Hubert Hovasse, psychologue berruyer. Pour ne pas se laisser déborder, il faut aborder « la question du sens », selon lui, c’est-à-dire quel est le sens d’utiliser le numérique d’un point de vue pédagogique.

Le débat serait tout autant nécessaire, selon lui, pour réfléchir sur ces outils mais aussi afin que les enfants se « l’approprient d’un point de vue pédagogique et pas seulement ludique. » Les enseignants, à l’instar de Marie, à Bourges, le constatent : les enfants ne connaissent pas les sites éducatifs.

Des interrogations sur l’intérêt pédagogique

Dans leur quotidien, les enfants sont exposées aux tablettes, téléphones, ordinateurs. « Autant utiliser ces moyens pour l’acquisition du savoir », confie Dominique Brunet, psychologue. L’enfant découvre alors que le numérique n’est pas seulement ludique.

Un point de vue partagé par de nombreux instituteurs interrogés. « Je pense que le numérique est important à l’école, il suffit juste d’avoir une utilisation raisonnée », confie Élise Bouterige. Si la directrice de l’école des Machereaux, à Bourges est convaincue de l’intérêt de se mettre à la page, elle préfère apprendre à lire à ses élèves « avant de les faire utiliser ces nouveaux outils ». Marie, institutrice berruyère, va dans son sens. D’après elle, il ne faudrait pas commencer avant huit ans, c’est-à-dire « quand la lecture est bien installée. C’est une question d’équilibre, de proportions. »

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Cet avis est partagé par les psychologues. « On ne va pas mettre un tout-petit devant une tablette pendant cinq heures. Une demi-heure c’est très bien pour un apprentissage », estime Dominique Brunet, fervente défenseur de l’introduction du numérique à l’école.

"Un singe peut cliquer
et trouver la bonne réponse"

Si les enseignants ne semblent pas fondamentalement opposés à l’e-éducation, ils s’interrogent tout de même sur l’intérêt pédagogique. « Sans vouloir être méchante, poursuit Élise, un singe peut cliquer et trouver la bonne réponse. Il faut que l’enfant sache rechercher, associer les lettres, utiliser les repères du dictionnaire. » Et Élise le constate au quotidien, « les enfants savent de moins en moins le faire. Ils deviennent passifs, attendent que l’information vienne à eux. »

Pour Élise et sa collègue Nelly, ça ne fait pas de doute, les problèmes de concentration et de comportement naissent d’une trop forte exposition aux écrans. Pour elles, le débat serait une bonne chose à condition de réussir à mobiliser les parents. Des parents qui « ne viennent pas très nombreux aux réunions de rentrée ».

Selon Hubert Hovasse, le débat n’est pas le même. L’image et les outils numériques à l’école, ce n’est pas la même histoire, même si la tablette numérique utilisée à mauvais escient peut aussi devenir comme la « TV nounou ». Tout serait alors affaire d’éducation?! De toute façon, « ce débat sur le numérique devrait avoir lieu, ne serait-ce que pour décider de comment aborder le savoir à travers ce nouveau moyen technique. » À bon entendeur?!

Virginie Mayet

http://www.leberry.fr/cher/actualite/2014/02/09/l-arrivee-des-tablettes-a-l-ecole-primaire-suscite-des-interrogations_1864902.html

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9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 15:23

 

 

 

Les séjours linguistiques à partir de 5 ans? Trop jeunes?

Cela dépend de l'enfant. Ayant travaillé dans une colonie de vacances pour enfants dès 6 ans, la plupart s'accommodaient parfaitement après 2-3 jours d'adaptation.

Mais avant d'y songer, introduisez votre enfant à l'anglais dans le confort de sa maison en téléchargeant les petits cours d'anglais sur ww.ludo-lidia.com dès 3 ans.

 

Une semaine de coursd'espagnol en Andalousie dès 5 ans. Un « summer camp » aux Etats-Unis à 6 ans. Des vacances anglaises à la ferme à 8 ans... Les frimousses ont tendance à rajeunir sur les catalogues en papier glacé de Langues vivantes, Silc, Home Abroad, entre autres organismes de voyages éducatifs. Le Salon des séjours linguistiques, qui se tient aujourd'hui à Paris*, devrait le démontrer. Alors que l'initiation aux langues étrangères fait partie intégrante des programmes scolaires dès la maternelle, les voyagistes harponnent désormais les petits frères et soeurs des cibles traditionnelles que sont les collégiens et les lycéens.

Les moins de 12 ans ne représentent encore que 9 % du
marché, mais « c'est un chiffre en croissance », indique l'Office national de garantie des séjours linguistiques, qui fédère et contrôle les prestations d'une quarantaine d'organismes en France.

Faut-il applaudir ce rajeunissement ? « L'âge idéal, c'est celui où l'enfant a envie de partir, prévient Gérard Deshayes, le président de l'Office. Comme pour les colos, il faut une certaine capacité à affronter l'inconnu. Le dépaysement est une épreuve pour un enfant », ajoute-t-il, en estimant que « 12 ans semble un âge raisonnable pour commencer ».

Laure Peskine, la secrétaire générale de l'Association des professeurs de langues étrangères, se garde aussi de tout conseil à l'emporte-pièce. « Tout peut être profitable, mais cela dépend de la psychologie de l'élève. Les parents doivent discuter avec l'organisme et être honnêtes sur le profil de leur enfant, préconise-t-elle. A tout âge, on voit des timides se débloquer quand ils changent d'environnement, et de très bons éléments se fermer parce qu'ils ont peur de parler. »

Ces inhibitions, typiques des adolescents, seraient plus rares chez leurs cadets, prompts à participer tant que l'apprentissage se fond dans un jeu adapté à leur âge. C'est ce que constate Françoise Egrot, une institutrice qui organise depuis quatre ans des classes de découverte de quatre jours pour ses CE 2, avec Little Big Land. Les séjours se déroulent en France... à une heure de route de l'école. « Les enfants sont accueillis par la reine d'Angleterre à la sortie du car, ils récupèrent au consulat un passeport et une identité anglaise, américaine ou australienne... Tout se passe en anglais et il n'y a aucun temps mort », raconte l'enseignante. Selon elle, cette immersion « permet de balayer un an de cours en une seule fois. C'est très efficace et les enfants rentrent extrêmement motivés ».

Pour rassurer les familles, nombre des séjours taillés pour les juniors se cantonnent à la France et aux pays limitrophes. Les « immersions en famille » sont déconseillées pour les petits, qui maîtrisent peu les bases de la langue. Les voyages sont également moins longs : ils se limitent généralement à une semaine. Et les cours de langue n'occupent qu'une partie des journées, le reste du temps étant consacré au sport ou à des activités thématiques. Sur ce créneau, les organismes rivalisent d'imagination : on peut nager avec les dauphins à Malte, se prendre pour Harry Potter à Londres, jouer aux cow-boys (et aux Indiens) dans un village américain... Les traditionnels « échanges » entre enfants du même âge ont en revanche quasiment disparu des menus des organismes. La faute au manque de répondant des familles outre-Manche... et à la faible rentabilité de ces formules pour les organisateurs eux-mêmes.

 

http://www.leparisien.fr/informations/des-sejours-linguistiques-des-5-ans-22-03-2014-3695337.php

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3 juin 2014 2 03 /06 /juin /2014 14:58

sans-titre2.pngBarbie n'a jamais été un modèle de réalisme. Souvenez-vous, nous en parlions (voir lien en bas de la page) des artistes s'amusent d'ailleurs régulièrement à détourner les poupées pour en faire des oeuvres d'art ou pour démontrer que leurs proportions sont proprement fantasques.

DR Natural Hair Dolls

Mais cela n'empêche pas des petites filles ou des petites garçons de jouer avec et de faire fonctionner le phénomène d'identification. Ainsi, dès le plus jeune âge, les enfants Noirs se voient-ils quasi obligés, face à la pauvreté de l'offre, de jouer avec des poupées blanches qui ne les représentent pas, et d'intégrer cette blancheur comme idéal de beauté.

Kenneth Clark, dans les années 50 et 60, avait mené des études psychologiques sur les enfants et leurs poupées. Il avait réussi à démontrer que les enfants Noirs désignaient généralement la poupée Blanche comme la plus jolie.

" Montre moi la poupée la plus jolie ?

- Celle là.

- Pourquoi ?

- Parce qu'elle est blanche.

- Montre moi la poupée méchante.

- Celle-là." (montre la poupée noire)

L'effet sur l'estime d'eux-mêmes des enfants est désastreux.

Alors lancer une collection de Barbie non seulement noires mais aussi avec les cheveux naturels - c'est-à-dire par une poupée vaguement colorisée, mais prise au naturel avec ses cheveux - peut permettre une identification, même imparfaite et partielle du fait de son corps irréel, de tous les enfants.

Peut-être de quoi rendre les petites filles Noires fières de ce à quoi elles ressemblent, comme elles sont, et sans se retrouver obligées par des injonctions de beauté stéréotypées d'avoir recours à des produits comme des défrisants pour enfants; histoire d'avoir le cheveux le plus lisse possible, parce que c'est le seul que notre société admet dans l'espace public sans trop de regards en coins:

 

Mais le public ne doit bien sûr pas rester uniquement composé des enfants Noirs et métissés, sans quoi on virerait vers un marché communautarisant, ce fameux "marketing communautaire" qui plaît tant aux publicitaires.

Pour que l'effet soit réel sur l'ensemble des enfants, Blancs, Noirs et autres, chacune et chacun doit pouvoir s'y identifier. Noirs ou pas.

Pour que la Blanche mince blonde cesse d'être l'étalon absolu, la parangon de la beauté dans l'inconscient collectif.

C'est peut-être aussi comme ça que les magazines féminins cesseront de nous dire que désolée, non, on ne peut pas mettre une femme Noire en couverture parce que vous voyez, "personne de Blanc ne peut s'identifier à un Noir." (C'est du vécu) et autres "Non, on ne peut pas mettre une femme Noire en photo, ça fait communautaire, on va croire qu'on parle aux Noirs" (vécu aussi, travailler dans la pub et pour la presse féminine crée des souvenirs formidables...

http://yahoo.mamantravaille.fr/maman_travaille/2014/06/des-barbies-%C3%A0-la-peau-noire-et-aux-cheveux-naturels-pourquoi-cest-important.html

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29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 09:35

33423046 1[1] 

 

Partout dans le monde, professeurs et parents enracinent dans la tête des jeunes qu’ « Apprendre l’Anglais est très important ». Cela vous est-il familier ?

 

Mais même si ceux-ci expliquent en détail pourquoi l’anglais est si important, nous ne pouvons pas toujours savoir. Ainsi, pour ceux d’entre vous qui hésitent à dépenser de l’argent difficilement gagné pour un cours de langue anglaise, voici les 5 principales raisons de le faire. Si vous voulez savoir de quelle manière l’anglais peut changer votre vie, alors lisez ce qui suit …

 


1- Pour le voyage

 

 

Que cela vous plaise ou non, l’anglais est la première langue officielle internationale. Ce qui veut dire que voyager sans connaître cette langue rendra votre vie réellement difficile.

 

Les aéroports, les routes, les trains, presque tous les lieux sont indiqués en anglais. Et n’oublions pas les gens. Le personnel des hôtels, des centres d’informations et le grand public, semblent tous connaître au moins un peu d’anglais. Mais probablement pas grand-chose dans votre langue maternelle. Désolé. Mais c’est la vérité.

 

Vous aimez voyager ? Donc, vous avez besoin de rafraîchir vos connaissances linguistiques avec un premier cours d’anglais.

 


2. Pour le travail

 

 

Vous voulez certainement réussir votre carrière, n’est-ce pas ? Oui, bien entendu, nous le voulons tous.
Bien parler une deuxième langue est assurément utile. Et comme l’anglais est la langue internationale officielle, vous allez avoir du mal à négocier avec les entreprises internationales ou avec les touristes si vous ne le parlez ni le comprenez. Presque toutes les entreprises vous considéreront mieux si vous avez un bon niveau d’Anglais.

 


3. Pour les études universitaires

 

 

Environ 80 % des publications académiques et des mémoires de recherches dans le monde sont publiés en Anglais. Les universités britanniques et américaines sont généralement considérées comme les meilleures du monde. Pour cette raison, les chercheurs de nombreux autres pays, qui font des percées importantes dans la recherche technologique, scientifique ou théorique, tendent à faire publier leurs travaux au Royaume-Uni ou aux États-Unis.
Donc, si vous voulez tirer le meilleur de vos études universitaires, vous avez besoin de l’anglais.

 

 

 


4. Pour le Web

 

 

La plus grande partie d’Internet est en anglais. Ainsi, si vous envisagez de créer un site web pour votre entreprise ou simplement de surfer sur la toile et de socialiser sur les sites de médias sociaux, l’anglais vous sera énormément utile.

 


5. Pour votre cerveau

 

 

Par-dessus tous les avantages pratiques que nous avons évoqués, apprendre une langue est une excellente stimulation mentale. Elle sollicite une partie de votre cerveau qui sinon serait laissée endormie. L’apprentissage demande de la patience, de la mémoire, des compétences d’analyse et des aptitudes sociales – qui peuvent toutes vous aider dans chaque aspect de la vie quotidienne. Et n’oubliez pas, cela peut être vraiment amusant aussi.

 

.Rendez-vous sur www.ludo-lidia.com et initiez vos enfants à l'anglais à travers de petites vidéos de 15 minutes. Une maîtresse d'anglais et sa marionnette aident les petits dès 3 ans dans leurs premiers pas dans l'apprentissage de cette langue devenue désormais incontournable. Au plus tôt au mieux et surtout ne pas croire qu'il faille d'abord maîtriser la langue maternelle

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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 13:24

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La fête des Mamans.
 
La fête des Mères est une fête annuelle célébrée par les enfants en l'honneur de leur mère dans de nombreux pays.

 À cette occasion, les enfants offrent des cadeaux à leur mère, des gâteaux ou des objets qu'ils ont confectionnés à l'école. Cette fête est marquée également par les adultes de tous âges pour honorer leur mère.

 La date de la fête des Mères varie d'un pays à l'autre, mais la majorité d'entre eux ont choisi de la célébrer en mai.

Histoire

 Les premières traces de célébration en l'honneur des mères sont présentes dans la Grèce antique lors des cérémonies printanières en l'honneur de Rhéa (ou Cybèle), la Grande Mère des dieux et notamment mère de Zeus. Ce culte était célébré aux Ides de Mars dans toute l'Asie mineure. Une fête religieuse romaine célébrait les matrones le 1er mars, lors des Matronalia ou fêtes des mères. D’ailleurs, les romains n’avaient que 55 jours ouvrables, les autres étaient réservées aux fêtes afin de célébrer les dieux. Ils en avaient de la chance !!

 Au XVe siècle, les Anglais fêtaient le Mothering Sunday, d'abord au début du carême puis le quatrième dimanche du carême. En 1908, les États-Unis développent la Fête des mères moderne telle qu'on la fête de nos jours, en instaurant le Mother's Day, en souvenir de la mère de l'institutrice Anna Jarvis. Le Royaume-Uni adopte à son tour cette fête en 1914, puis l'Allemagne l'officialise en 1923. D'autres pays suivent comme la Belgique, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Turquie ou l'Australie.

 En France

 En 1918, la ville de Lyon célèbre la journée des Mères en hommage aux mères et aux épouses qui ont perdu leurs fils et leur mari pendant la Première Guerre mondiale. En 1920, est élaborée une fête des Mères de familles nombreuses1 puis le gouvernement officialise une journée des Mères en 1929.

 En 1941, le régime de Vichy inscrit la fête des Mères au calendrier, dans le cadre de la politique nataliste2.

 Après-guerre, la loi du 24 mai 19503 dispose que « la République française rend officiellement hommage chaque année aux mères françaises au cours d'une journée consacrée à la célébration de la « Fête des mères » », organisée par le ministre chargé de la Santé avec le concours de l'UNAF. Elle en fixe la date au dernier dimanche de mai (sauf si cette date coïncide avec celle de la Pentecôte, auquel cas elle est repoussée au premier dimanche de juin.

 En Suisse et en Belgique, la fête est le deuxième dimanche de mai. En Espagne et au Portugal, le premier dimanche du mois.

 Le collier de nouilles est un cadeau fréquemment fabriqué en activité scolaire par les très jeunes enfants pour la fête des mères.

 C’est donc à Anna Jarvis que nous devons cette journée spéciale pour toutes les mamans :

 Anna Marie Jarvis, née le 1er mai 1864 à Webster en Virginie et décédée le 24 novembre 1948 à West Chester en Pennsylvanie. Elle est connue pour être à l'origine de la création du jour de la fête des mères aux Etats-Unis. La maison où elle est née est inscrite au National Registre des lieux historiques depuis 1979 et connue aux États Unis sous le nom d'Anna Jarvis House.

 Elle était la fille d'Ann Maria Reeves Jarvis (1832-1905). La famille déménagea dans la localité proche de Grafton, Virginie lors de son enfance. Après ses études au Mary Baldwin College toujours en Virginie. Elle revint à Grafton pour y enseigner durant 7 ans. Sa mère avait fréquemment émis le vœu de voir la création d'un jour de fête en hommage à toutes les mamans.

 Le 12 mai 1907, deux ans après le décès de sa mère et pour lui rendre hommage, elle lança une campagne pour créer une Fête des mères qui serait une fête officielle. Sa lutte porta ses fruits en 1914 lorsque que le texte fut approuvé par le gouvernement américain. Chaque année depuis cette année, le second dimanche du mois de mai est un jour férié aux États-Unis.

 En 1934, les Postes américaines émirent un timbre reproduisant un tableau de James Abbott McNeill Whistler, "La Mère". L'habitude, à l'occasion de la fête des mères, était alors aux États-Unis de porter à la boutonnière un œillet. Dans un but commercial la reproduction du tableau avait été modifiée par l'adjonction dans l'angle gauche d'un vase d'œillets. Anna Jarvis protesta, avec succès, auprès du ministre des Postes considérant que sa fête devenait une publicité pour le commerce des fleurs.

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 17:42

enfant-bilingue-1-.jpgNous savons que dès les premiers jours de vie, voire déjà dans l’utérus, et jusqu’à environ l’âge de 6 mois, le bébé est capable de distinguer tous les sons d’une langue quelle qu’elle soit et de différencier ceux qui ne sont pas utilisés dans la langue de son environnement. Cette capacité disparaît ensuite. Les nouveaux-nés français, réagissent, dès la première semaine, différemment à l’anglais et au français. Ils différencient des langues de famille différentes grâce à leur rythme différent. Dès deux mois, ils ont ainsi acquis des paramètres de la langue parlée dans son environnement.

Le bébé développe ainsi tout naturellement deux systèmes linguistiques si dans son environnement des personnes lui parlent régulièrement en différentes langues. L’enfant n’est pas conscient qu’il baigne dans deux langues. Il apprend tout naturellement deux significations pour un seul contenu. Il sait très vite que pour désigner un objet son père dira « Katze » et sa mère « chat ». Selon son interlocuteur, il choisit un des deux mots. Il apprend ces langues, non pas parce qu’il aime ces langues, mais parce qu’il aime les personnes qui les parlent !

L’enfant bilingue a en permanence deux codes linguistiques à sa disposition et parler, signifie pour lui, choisir le code approprié en fonction de l’interlocuteur ou de la situation. Malgré cette activité supplémentaire, il ne prend pas deux fois plus de temps pour acquérir le langage. Les premiers mots apparaissent comme chez l’enfant monolingue entre 12 et 18 mois.

Le mélange des langues est-il un temps de passage obligé pour l’enfant bilingue?

Rappelons que la grande majorité des enfants, qui apprennent une langue, passent par une phase de tâtonnement. Ainsi se basent-ils sur le modèle le plus familier pour construire de nouveaux mots. Ils vont par exemple dire « les enfants vont boiver » sur le modèle de « les enfants vont manger ». Il s’agit d’erreurs de langue, de surgénéralisation qui mènent à la construction du langage.

Sur ce même modèle, le mélange des langues est un passage fréquent chez les enfants bilingues. Mais tous les enfants bilingues ne passent pas par cette étape. Les orthophonistes savent que tous les enfants n’ont pas le même style d’apprentissage.

Certains enfants apprennent de manière analytique. Ils sont plus intéressés par les choses et par le contenu de la communication. Ils utilisent de ce fait plus de mots et s’intéressent très tôt à la construction du langage et à ses règles. Ils seraient plus conscients de la « langue » et l’utiliseraient au moment où ils sont sûrs de ne pas se tromper. Ils ne mélangent donc pas les mots.

D’autres enfants apprennent de manière expressive. Ces derniers s’intéressent plus aux personnes et au caractère interactif de la communication. Ils maîtrisent très vite des expressions complexes, répètent des phrases entières et des structures complexes. Par

 

contre ils tâtonnent plus longtemps, créent des formes de mots sur la base de ce qu’ils connaissent. Progressivement, ils prennent conscience que la communication échoue avec un interlocuteur s’ils n’utilisent pas le bon mot dans la bonne langue. Ils mettent un peu plus de temps à associer une langue à une personne ou à une situation. L’alternance des codes à l’intérieur d’un même énoncé est fréquent et peut constituer une manière de parler entre personnes maîtrisant les mêmes langues. L’alternance des codes n’est en principe pas le fruit du hasard : souvent le mot choisi traduit mieux ce que le locuteur veut dire.

Le « mélange » peut aussi avoir une fonction de communication : recentrer l’attention de l’interlocuteur. Il est à prendre en compte.

 

 

Voilà que de bonnes raisons pour commencer dès le plus jeune âge avec la méthode d'anglais sur www.ludo-lidia.com. Une maîtresse d'anglais qualifiée dans l'apprentissage d'une seconde langue pour les tout petits dès 3 ans. Avec sa marionnette, elle capte l'attention de l'enfant qui écoute et puis répète. Ludique et amusant ces 28 épisodes d'anglais ne coûtent que 1 euro pour 15 minutes par téléchargement ou 25 euros pour tous les épisodes. Une bonne idée pour une première introduction à l'anglais. En visionnant 3 fois par semaine les épisodes, vous serez surpris des progrès. des centaines d'enfants ont déjà suivi ce programme avec succès et les parents sont ravis. N'attendez plus et donnez à votre enfant une longueur d'avance car sa carrière professionnelle future n'en sera que plus riche ainsi que ses échanges sociaux.

 

http://crdp.ac-bordeaux.fr/capoc/file/Bilinguisme/Bilinguisme_precoce_Avantage_ou_Handicap_Denni_Krichel.pdf

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  • J'enseigne l'anglais aux petits dès 3 ans à l'école mais aussi sur mon site WWW.ludo-lidia,com. J'aime faire de petites vidéos sur les évènements du mois avec mes marionnettes Cécile et Basile. Je poste des articles:enfance et ados.
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