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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 13:19

 

Après avoir chuté d’une chaise longue, une fillette de 19 mois s’est retrouvée avec un crayon de couleur coincé dans le cerveau. Après une longue opération, le bébé s’en est sorti indemne !


A Boston, dans la maison familiale, la petite Olivia Smith joue tranquillement avec ses nouveaux crayons de couleur. Soudain, elle tombe de sa chaise longue. Emmenée à l’hôpital, le personnel médical découvre alors avec stupeur que l’enfant a un crayon de couleur coincé dans le cerveau. Le crayon a transpercé la cavité orbitaire de la fillette pour venir pénétrer le cerveau sur quelques centimètres. Pas moins de cinquante médecins, du personnel des urgences aux neurochirurgiens, en passant par les radiologues, se sont penchés sur le cas d’Olivia. Heureusement, le crayon semble avoir emprunté la ‘meilleure’ trajectoire possible pour causer le moins de dégâts : « Si vous m'aviez demandé de m'asseoir avec la radio d'un patient et de tracer une ligne qui irait d'un bout à l'autre du cerveau en évitant toutes les zones critiques et les vaisseaux sanguins importants, j'aurais eu du mal à trouver une voie qui causerait aussi peu de dommages » raconte le Dr Darrent Orbach, dont les propos sont rapportés par le Huffington Post.
 
Une opération éprouvante de quarante-cinq minutes
C’est le Dr Robinson Shenandoah qui pratique l’opération pour enlever le crayon du cerveau de la fillette. Quarante-cinq minutes interminables et angoissantes : « Lorsque j'ai vu les radios de son cerveau j'étais très inquiète. Il a fallu tirer le crayon toujours un peu plus loin, c'était très éprouvant », se rappelle-t-elle. La fillette a subi trois interventions, mais, n’ayant que 19 mois, elle devrait se rétablir très vite et ne souffrir d’aucunes séquelles


Pour en savoir plus : Etats-Unis : une fillette de 19 mois opérée pour enlever un crayon de son cerveau - Magicmaman.com

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 09:14

Neandertal-3.jpgGeorge Church, généticien à la Harvard Medical School aux Etats-Unis, a affirmé au journal allemand Der Spiegel qu'il serait un jour théoriquement possible de cloner un bébé Néandertalien… ou presque ! Explications.


George Church, un généticien anglais professeur à Harvard, a affirmé que l’on serait (presque) en mesure de cloner un homme de Néandertal ! Le scientifique, très respecté dans le monde de la recherche, a en effet affirmé qu'il serait possible de recréer l’espèce des Néandertaliens - dont le génome a été décodé en 2009 - bien que cette espèce cousine de l’Homme se soit éteinte depuis 33 000 ans. Pour se faire, il faudrait implanter de l’ADN reconstitué dans des cellules souches puis faire appel à une mère porteuse. Seul bémol : pour que la démarche fonctionne, cette mère porteuse devra être elle-même néandertalienne...
 
Une erreur de traduction
 Ces derniers jours, on a pu lire dans de nombreux médias que George Church cherchait une mère porteuse pour porter un bébé néandertalien… Il s’agissait là d’une erreur de traduction de la part du journal The Indépendant, qui avait repris l’article de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, rapporte lci.tf1.fr. Le scientifique lui-même a démenti l’information hier dans le Boston Herald, affirmant être opposé à un tel projet.


Pour en savoir plus : Insolite : bientôt un bébé Neandertal ? - Magicmaman.com

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 16:06

cerveau_intro.jpg

 

 

Une équipe de scientifiques de l’EPFL* vient de démontrer que les traumatismes de l’enfance laissent une empreinte biologique durable dans le cerveau, qui pourrait prédisposer à la violence.
 
Le cerveau est marqué par les traumatismes psychologiques subis dans la jeunesse. C’est ce qu’affirme une étude menée par l’équipe du professeur Carmen Sandi, chercheuse à l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne* (EPFL), dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue Translational Psychiatry. L’étude démontre aussi que cette marque prédisposerait à la violence à l’âge adulte.
 
Une trace durable
 
Pour arriver à ces résultats, les chercheurs de l’EPFL ont exposé une population de 250 rongeurs à des situations de stress psychologique. Une fois à l’âge adulte, ces mêmes rats ont commencé à se comporter de manière agressive dans des situations ne le justifiant pas. Les scientifiques ont remarqué une modification du cerveau de l’animal, mais ils ont aussi constaté que les changements physiques dans les cerveaux des rats correspondent à ceux détectés chez des humains violents ayant subi des traumatismes dans leur enfance.
 
Le cerveau altéré
 
« Nous ne nous attendions pas à autant de similarités », note Carmen Sandi. Grâce à l’imagerie fonctionnelle pratiquée sur des individus violents, on a constaté le même déficit d’activation du cortex orbitofrontal que chez les rats. Or chez des sujets sains, cette partie du cerveau est activée pour réduire les réactions agressives. La chercheuse juge que « les personnes qui ont subi des traumatismes dans leur enfance ne souffrent pas seulement du point de vue psychologique. Leur cerveau est véritablement altéré. » .
 
Un traitement possible
 
Les chercheurs ont aussi pu mesurer des modifications au niveau des gènes connus pour leur implication dans l’agressivité. « Nous avons trouvé que le niveau d’expression du gène MAOA augmentait dans le cortex préfrontal, là où nous avions constaté une inhibition », précise Carmen Sandi. Les chercheurs ont remarqué que l’administration d’un antidépresseur modifiait alors les altérations subies. Les recherches devraient se poursuivre dans cette voie pour mieux comprendre, entre autres, l’influence des antidépresseurs sur la plasticité cérébrale.

http://psychoenfants-actu.com/2013/01/22/le-cerveau-marque-par-les-traumatismes-de-lenfance/

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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 14:25
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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 15:38

 

F_c449bd8621.jpgMarseille-Provence 2013 - 

Article publié le : vendredi 11 janvier 2013 - Dernière modification le : samedi 12 janvier 2013

 

Le billet dont la valeur s’adapte aux besoins des gens « égaux et honnêtes », conçu par Francis, le caviste du quartier.
Siegfried Forster / RFI


 Par Siegfried Forster

La capitale européenne de la culture 2013 commence officiellement ce samedi 12 janvier, mais la Bank of Paradise a déjà ouvert ses premiers guichets dans le cadre des Quartiers créatifs. C’est un récit artistique, lancé par l’imagination d’un paysagiste-plasticien, avec une planche à billets au cœur d’un quartier nord de Marseille. Chaque billet dessiné est un rêve qui circule et s’investit dans la vie quotidienne d’une cité à réputation difficile. Sous les pavés de la drogue, du chômage et de la pauvreté naît ainsi la possibilité d’un paradis. Une initiative artistique folle avec des vrais billets, des hold-up et des guichets qui brûlent. Reportage.

 


Comment refléter la vie d’une cité, l’isolement d’un quartier, sans trahir le vécu et les espoirs des habitants ? Comment montrer le chemin vers le paradis ? Mission impossible. Contentons-nous et réjouissons-nous alors d’une rencontre artistique. Faisons confiance à trois personnes qui parcourent depuis deux ans le paradis, leur paradis. Le Plan d’Aou, c’est un de ces quartiers nord de Marseille, si souvent évoqués dans les médias, mais trop rarement vus de ses propres yeux. Dans le cadre de la capitale européenne de la culture, l’artiste-paysagiste Jean-Luc Brisson - dans une autre vie également directeur de l’antenne marseillaise du département Arts plastiques de l’Ecole nationale supérieur du paysage de Versailles - a crée ici la Bank of Paradise. Ainsi, le quartier à réputation difficile est devenu un des quinze Quartiers créatifs du programme officiel de Marseille-Provence 2012.

 

La valeur de cette monnaie artistique
 
Direction le nord de la ville. Les paysages défilent et saturent nos yeux. Il y a des jolis villages provençaux qui épousent les collines, mais aussi les cités et les barres d’immeubles qui s’imposent sans scrupules au terroir. La gare Saint-Antoine est le quatrième arrêt du train après la gare Saint-Charles. Sur place, il y a d’un côté un camp de Roms qui trient les déchets électroménagers, de l’autre côte l’ancien bourg qui mène vers la Gare Franche, un lieu culturel alternatif, situé dans un cadre bucolique. La friteuse est branchée sur la terrasse, à côte d’un jardin avec des oies, des poulets et même un coq qui chante. C’est ici le quartier général de la Bank of Paradise que Jean-Luc Brisson a inventé avec un tel désir de rêver, qu’il y a aujourd’hui des habitants qui croient vraiment à la valeur de cette monnaie artistique, fabriquée avec et pour les habitants. Un enfant a inventé le billet « Maman, je t’aime », un autre a remplacé les euros par les « lumières » ou imprimé comme valeur « Une fleur pour un jour ». Francis, le caviste du quartier, a crée une note de banque universelle dont la valeur s’adapte aux besoins des gens « égaux et honnêtes » qui se font confiance.
 
Pousser la porte du jardin
 
A la Gare Franche, il suffit de pousser la porte du jardin pour se retrouver sur le plateau d’Aou, un vaste terrain perché au-dessus de Marseille, partiellement désert et délabré et surtout totalement irréel. Un îlot longtemps isolé du reste de la ville, situé entre les collines et la mer, entre la pauvreté des anciens habitants et la valeur spéculative du foncier, entre le désespoir de la drogue et la vue panoramique sur Marseille. Des décharges et parkings à ciel ouvert côtoient les dealers, des constructions neuves et des barres d’immeubles abandonnées aux pigeons, jadis habitées par les riches. « Ici, dans les années 1960, ne vivaient que des Européens », raconte Zorah, l’âme engagée du quartier. C’était avant l’arrivée des Maghrébins qu’on essaie aujourd’hui de chasser pour valoriser le terrain.

 

 

Les noms de rues, anciennement dédiés aux bateaux, s’appellent aujourd’hui l’allée des goélettes ou de l’Albatros. « Avant, sur les adresses, c’était le Plan d’Aou, remarque Zorah,  mais sur les nouvelles adresses, il n’y en a pas. Alors tous les habitants, quand ils marquent une adresse, ils rajoutent le Plan d’Aou, mais si vous le mettez sur un GPS, il n’y est pas. Ils ont voulu effacer une histoire, mais l’avenir se fait avec l’histoire du passé. » En même temps, curieusement, ils ont oublié d’enlever les pylônes et les bunkers de la Kommandantur de la Seconde Guerre mondiale toujours présents sur le terrain. Surréaliste.
 
« Découvrez le paradis »
 
 L’idée de Bank of Paradise est née de plusieurs coïncidences : une commande de Marseille-Provence 2013 pendant la crise financière avec la folie de l’argent brûlé, la découverte du film de Robert Guédiguian, L’argent fait le bonheur, tourné dans le quartier, et dont le personnage fictif d’un curé vit toujours parmi les habitants. Mais le point décisif était la rénovation urbaine du plateau d’Aou. Une action vécue par les locataires comme une expropriation. « Des deux mille familles de jadis, il n'en demeure désormais que deux cent », se fâche Zorah qui n’a pas l’intention de se laisser faire. Pour elle, c’est depuis trente ans « mon quartier, ma maison, mon environnement, mon enfance, ma jeunesse, tout. » Il y a treize ans, elle était parmi les premières qui ont dû quitter les immeubles pour faire place à ce projet immobilier. « Quand vous venez ici dans le quartier, vous avez l’impression que c’est un quartier comme un autre, mais si je vous emmène à cet endroit, vous découvrez le paradis. ».
 
 

La promesse d’une « ouverture » du quartier s’est soldée par des résidences privées et fermées. Le rocher où tout le quartier, pendant des décennies, fêtait le 14 juillet avec une vue à couper le souffle sur la rade de Marseille, est aujourd’hui inaccessible, séparé par un mur pour « protéger » les nouveaux habitants du quartier « sensible ». « Nous avons  été tellement trahis. Il y a un proverbe chez nous qui dit : « Avant j’avais la vue sur la mer, maintenant je l’ai sur ma mère ». ».
 
Jardiner l'espace
 
 Et la capitale européenne de la culture dans tout cela ? C’est la dimension culturelle de la politique de la ville. Jean-Luc Brisson ne croit pas à la baguette magique des artistes, mais il croît aux traces laissées sur un papier. Chaque billet dessiné par les habitants est un gage pour l’avenir. « Nous sommes auprès des gens et nous allons jardiner avec eux l’espace qu’ils habitent. ».
 
 La Bank of Paradise suggère qu’avec un bout de papier et un crayon on peut changer des choses. Alice, jeune paysagiste qui adhère au projet, parcourt depuis des mois le plateau d’Aou. Avec sa curieuse invention autour du cou, elle peut capter les paysages traversés et les gens rencontrés tout en restant en mouvement. « Cela fait du lien entre toutes ces personnes rencontrées et leurs paysages. Cela emmène les gens à voir ce que je dessine et ils finissent par me parler de leur paysage quotidien. Finalement, c’est le paysage qu’on ne regarde plus, qu’on ne voit plus. Là, du coup, hop, on attire à nouveau leur œil sur le paysage qui les entoure. ». Le projet n’a pas d’effet immédiat et consommable comme un événement culturel. Sa force repose dans l’aspect immatériel et la confiance dans le quartier. C’est ce qui a frappé Zorah dans les dessins des habitants : « Ils imaginent le quartier comme ils l’ont voulu. Nos enfants aussi, ils dessinent ce qu’ils veulent actuellement. ».

Les guichets du paradis
 
« Comme c’est une banque du dehors, on construit des « guichets », avance Jean-Luc Brisson. Ce sont des petits dispositifs comme des tables, des bancs, des sièges, pour dessiner. Et ces dispositifs, on les abandonne. L’idée est que tout cela devienne un jardin, un parc dans le quartier. ». Bien sûr, il y a des limites. Le premier vrai guichet tout en bois a brûlé, des enfants désœuvrés y ont mis le feu. C’était probablement aussi trop gênant pour la tranquillité des dealers. Une preuve de plus que la Bank of Paradise pose des questions pertinentes concernant le vivre-ensemble et l’espace public. Chaque billet de la Bank of Paradise rend visible des valeurs qui font défaut dans le quartier. Le dessin crée le lien, le billet la valeur. Le paradis d’Aou est une question de principe : tout le monde peut devenir riche et faire profiter les autres.

 

 

 

 

 

 

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 18:45


 Si le fait que les enfants commencent à apprendre la langue avant leur naissance est connu depuis longtemps par les scientifiques, de nouvelles recherches montrent que le nourrisson fait aussi la différence entre sa langue maternelle et une langue étrangère.
 
Les bébés commencent à différencier la langue avant même leur naissance. C’est en effet ce que révèle une étude américano-suédoise parue dans la revue Acta Paediatrica. Des scientifiques des universités de Tacoma (Etat de Washington, Etats-Unis) et de Stockholm (Suède) ont découvert que les bébés se familiarisent avec leur langue maternelle alors même qu’ils se trouvent encore dans l’utérus de leur mère.femme-enceinte.jpg
 
Une précocité inattendue
 
Auparavant, les scientifiques croyaient que les nouveau-nés commençaient à distinguer les différentes langues au cours de leurs premiers mois de vie. Mais cette nouvelle étude indique que les bébés ont la capacité d’apprendre et de mémoriser les sons élémentaires de leur langue maternelle pendant les 10 dernières semaines de la grossesse. « Nous savons depuis plus de 30 ans que l’on commence, avant la naissance, l’apprentissage de la langue en écoutant les sons de notre mère », a déclaré Christine Moon, professeur de psychologie à l’Université Pacific Lutheran (Tacoma), qui a dirigé la recherche. « Mais c’est la première étude qui montre que le fœtus, avant la naissance, fait l’apprentissage des sons à partir des paroles maternelles ». Les scientifiques ont découvert que les bébés, vieux de seulement quelques heures, sont capables de faire la différence entre leur langue maternelle et une langue étrangère.
 
Le test de la tétine
 
Pour mener à bien cette étude, les chercheurs des universités de Stockholm et de Tacoma ont mené une expérience similaire. Ils ont fait écouter à 40 bébés de chaque pays, 30 heures après leur naissance, des voyelles quasi identiques émises par des Suédois ou des Américains. Une tétine était mise dans la bouche des nouveau-nés et reliée à un ordinateur pour calculer les mouvements et les durées de succion. Or les nourrissons ont réagi différemment dans les deux situations. Les bébés ont sucé plus longtemps la tétine lorsqu’ils étaient confrontés à une langue inconnue alors qu’ils l’ont sucé moins longtemps à l’écoute de leur langue maternelle. Ainsi cette expérience prouve qu’il y a déjà eu apprentissage in utero.

http://psychoenfants-actu.com/2013/01/04/lapprentissage-de-la-langue-commence-in-utero/

 

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24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 17:31

ballade-en-traineau.jpg

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 18:12

 

Ça y est, le premier bulletin de l'année de votre enfant est arrivé... et ses résultats laissent à désirer. Pour vous aider à prendre du recul et à bien orienter votre loulou pour les deux prochains trimestre, retour sur les conseils de Béatrice Copper-Royer, psychologue.


Si bien des élèves redoutent l'arrivée du bulletin scolaire, de leur côté, les parents n'en mènent pas large non plus... En effet, ce carnet de notes tant attendu chaque trimestre est le reflet des progrès ou des "échecs" de leur enfant dans les disciplines enseignées à l'école. Et dans ce domaine, les exigences en termes de résultat scolaires, varient considérablement d'une famille à l'autre... Apprendre à relativiser ce moment est primordial pour coacher son loulou dans le bon sens et lui donner les clés d'un apprentissage réussi. Les conseils  la psychologue spécialiste de l'enfance et de l'adolescence Béatrice Copper-Royer !

Bulletin scolaire : DIA-LO-GUEZ !
 Pour éviter le drame familial à l'arrivée du bulletin, il est important de communiquer avec son enfant tout au long de l'année pour savoir où il en est. Si le dialogue est fermé et que toute discussion à propos des notes tourne à la crise, inutile de s'étonner si les résultats ne sont pas bons. "C'est un cercle vicieux, explique la psychologue, si le bulletin est source d'appréhension chez les parents, les enfants vont à leur tour angoisser et être contre-productif sur les bancs de classe...". La communication est donc primordiale pour relativiser les notes sur le bulletin scolaire. Votre priorité pour le deuxième trimestre (surtout si le premier laisse à désirer) : un suivi assidu des progrès et des difficultés rencontrées par votre enfant. L'objectif : éviter les disputes et autres surprises désagréables.
 
Ecole primaire : sachez dédramatiser l'épreuve du bulletin
 Qui dit bulletin scolaire, dit bien souvent pression familiale... A ce propos, Béatrice Copper-Royer s'exclame : "Il ne faut pas que le bulletin scolaire soit un événement national au sein de la famille ! Cette obsession scolaire doit absolument être relativisée par les parents, notamment ceux dont les enfants sont encore petits". Votre loulou n'a pas de très bons résultats scolaires ?  Ce n'est pas dans le but de vous ennuyer, bien au contraire. Si ses notes sont mauvaise, c'est qu'il a bien souvent des difficultés de compréhension. Ainsi, les notes du bulletin ne doivent pas être l'objet d'une dispute. Il doit vous permettre de prendre conscience des problèmes rencontrés en classe par votre petit.
 
Collège : mauvais bulletin, n'hésitez pas à recadrer !
"Les jeunes sont nettement moins dans une dépendance psychologique vis-à-vis de leur parent, au contraire des enfants de primaire," rappelle Béatrice Copper-Royer. Ainsi, si mauvais résultats il y a, cela peut provenir de nombreux facteurs comme leur environnement... Télévision, ordinateurs ou tout autre jouet technologique envahissent désormais le quotidien de nos ados. Un mauvais bulletin doit donc être considéré comme le signe qu'un recadrage est nécessaire. Commencez par revoir son cadre et ses conditions de travail (réguler les heures devant l'ordinateur, faire un point avec le professeur principal en cas d'avertissement, songer au soutien scolaire). Le bilan du premier trimestre doit permettre à votre ado de reprendre le chemin du boulot


Pour en savoir plus : Mauvais bulletin : 3 règles d'or pour dédramatiser - Magicmaman.com

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 16:16

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 11:41
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Présentation

  • : Le blog de ludo-lidia.over-blog.com
  • : Publications d' articles, d'astuces et d'anecdotes liés à l'enfance et l'adolescence. Evènements mensuels expliqués aux petits sous forme de vidéos avec mes marionnettes Cécile et Basile. Invitation voir mon site pour enfants dès 3 ans WWW.ludo-lidia.com. Adepte de l'enseignement précoce d'une 2ème langue car je suis maitresse d'anglais pour les petits.
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  • J'enseigne l'anglais aux petits dès 3 ans à l'école mais aussi sur mon site WWW.ludo-lidia,com. J'aime faire de petites vidéos sur les évènements du mois avec mes marionnettes Cécile et Basile. Je poste des articles:enfance et ados.
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