Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 10:24

Les bonnes raisons pour apprendre l'anglais

 

basile-english-copie-1 Voici quelques bonnes raisons (+/- sérieuses) pour apprendre l’anglais :

Il est nécessaire d'apprendre l’anglais :
 
- Pour évoluer dans son travail
 
- Pour comprendre 1 400 000 000 personnes à travers le monde
 
- Parce que tout le monde ne parle pas chinois
 
- Parce que les Beatles ne chantent pas en russe
 
- Pour parler anglais, simplement
 
- Il faut apprendre l'anglais car c'est la langue utilisée dans l'aéronautique, les congrès scientifiques et en politique internationale
 
- Pour voyager
 
- Apprendre l'anglais peut être un bon moyen de se faire de nouveaux amis
 
- Pour comprendre les livres en anglais et certains manuels d'utilisation
 
- Pour draguer les Anglaises (ou pour se faire passer - dans une discothèque de province - pour un étudiant australien ou néo-zélandais en échange universitaire)
 
 Il est nécessaire d'apprendre l’anglais :
 
- Pour répondre 'oui' à la question : 'Souhaitez-vous apprendre l’anglais ?’
 
- Parce que c'est facile (ou dur)
 
- Apprendre l'anglais est important car l’anglais est la langue officielle d'au moins 75 pays dans le monde
 
- Pour faire travailler son cerveau
 
- Pour regarder 'Scarface', 'Friends' ou 'Lost' en VO sans être 'perdu'
 
- Pour devenir une 'pop-star' ou 'barman' à Ibiza
 
- Pour comprendre les paroles des chansons anglaises et ne plus chanter en 'yaourt'
 
- Pour ne pas apprendre l'allemand
 
- Pour pouvoir travailler à l'étranger
 
- Apprendre l'anglais est important quand on sait que 56% des sites internet sont en anglais
 
- Pour pouvoir dire aux Anglais (et en anglais) : 'je vous avais bien dit qu'on vous battrait au foot !’
 
Parce que l'anglais est une langue d’avenir : le français comme l'allemand, le finnois ou le tchèque sont voués à disparaître ; seuls resteront l'anglais, le chinois, l'espagnol et l'arabe.

Donnez donc une longueur d’avance à vos enfants dès 3 ans avec le programme
 www.ludo-lidia.com . Téléchargez nos petites vidéos avec maitresse d’anglais et sa marionnette. Introduction à l’anglais comme en classe de manière progressive. Ici pas de listes de couleurs, d’animaux, pas de dessins animés, pas de livres tactiles. Inutile de courir vers des ateliers car tout se passe dans le confort de la maison et au rythme de l’enfant. Succès garanti. Depuis 2010, des centaines d’enfants ont appris en quelques mois des centaines de mots. Testez et vous verrez. Les enfants accrochent et s’amusent.
1 Euro l’épisode de 15 minutes, cela en vaut la peine.
Petits cours de 15 ou 30 minutes sur Skype possible dès 3 ans.
 
 
 
 
 

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 18:02

La galette des Rois est un gâteau célébrant l’Épiphanie et traditionnellement vendu et consommé quelques jours avant et après cette date, voire jusqu'à la fin de carnaval dans les départements français d'outre-mer.
 
La galette des Rois, dans le nord de la France, est originellement une galette de pâte feuilletée, simplement dorée au four, qu’on mange accompagnée de confitures ; elle peut également être fourrée avec diverses préparations : frangipane, fruits, crèmes, chocolat… Dans le Sud de la France, le gâteau des Rois est une brioche aux fruits confits en forme de couronne parfumée à la fleur d'oranger, est préférée à la galette en pâte feuilletée, dite "parisienne". Mais on trouve aussi des galettes à base de pâte sablée dans l’ouest.
 th-7-.jpg
Coutume
 
Galette des Rois artisanale.
La tradition veut qu’elle soit l’occasion de « tirer les rois » à l’Épiphanie : une fève est cachée dans la galette et la personne qui obtient cette fève devient le roi de la journée et a le droit de porter une couronne de fantaisie. Dans le circuit commercial, dans la seconde moitié du XXe siècle, les boulangers fournissent avec la galette une couronne en papier doré à usage unique. Plus traditionnellement chaque famille réalise et conserve une ou plusieurs couronnes artisanales. Il est dit que le bénéficiaire de la fève doit offrir la prochaine galette, cependant, aucune source fiable ne permet d'affirmer ou d'infirmer formellement cette tradition. C’est le plus jeune des convives, caché sous la table, qui décide de la distribution des parts.
 
Les gâteaux à fève n’étaient pas réservés exclusivement au jour des Rois. On en faisait lorsqu’on voulait donner aux repas une gaieté bruyante. Un poète du XIIIe siècle, racontant une partie de plaisir qu’il avait faite chez un seigneur qui leur donnait une généreuse hospitalité, parle d’un gâteau à fève pétri par la châtelaine : « Si nous fit un gastel à fève ». Les femmes récemment accouchées offraient, à leurs relevailles1, un gâteau2 de cette espèce.
 
Dans sa Vie privée des Français, Legrand d’Aussy écrit, que, dès 1311, il est question de gâteaux feuilletés dans une charte de Robert II de Fouilloy, évêque d’Amiens. Souvent même, on payait les redevances seigneuriales avec un gâteau de ce genre. Ainsi, tous les ans, à Fontainebleau, le 1er mai, les officiers de la forêt s’assemblaient à un endroit appelé « la table du roi », et là, tous les officiers ou vassaux qui pouvaient prendre du bois dans la forêt et y faire paître leurs troupeaux, venaient rendre hommage et payer leurs redevances. Les nouveaux mariés de l’année, les habitants de certains quartiers de la ville et ceux d’une paroisse entière ne devaient tous qu’un gâteau. De même, lorsque le roi faisait son entrée dans leur ville, les bourgeois d’Amiens étaient tenus de lui présenter un gâteau.
 
Origine
 
Un gâteau des Rois aux fruits confits.
Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et donnait au « roi d’un jour » le pouvoir d’exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d’être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à l’issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service (d’où l’usage toujours vivant de « tirer les rois »). Tacite écrit que, dans les fêtes consacrées à Saturne, il était d’usage de tirer au sort la royauté3. Étienne Pasquier a décrit dans ses Recherches de la France4 les cérémonies qui s’observaient en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu’il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maitre interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l’innocence de son âge, représentât un oracle d’Apollon. À cet interrogatoire, l’enfant répond d’un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l’adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu’il tient en sa main, l’enfant le nomme ainsi qu’il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu’à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l’a est réputé roi de la compagnie encore qu’il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser. »
 
C’est cet usage qui est passé jusqu’à nous. On en retrouve la trace non seulement dans le rituel de la galette des Rois, mais aussi dans la fête des Fous médiévale et des « rois et reines » des carnavals actuels.
 
Histoire

La Fête des Rois, de Jacob Jordaens, v. 1640-45 (Kunsthistorisches Museum, Vienne).
Jadis, l’usage voulait que l’on partage la galette en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre » était destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis. Au Moyen Âge, les grands nommaient quelquefois le roi du festin, dont on s’amusait pendant le repas. L’auteur de la vie du duc Louis II de Bourbon, voulant montrer quelle était la piété de ce prince, remarque que, le jour des Rois, il faisait roi un enfant de huit ans, le plus pauvre que l’on trouvât en toute la ville. Il le revêtait d’habits royaux, et lui donnait ses propres officiers pour le servir. Le lendemain, l’enfant mangeait encore à la table du duc, puis venait son maitre d’hôtel qui faisait la quête pour le pauvre roi. Le duc de Bourbon lui donnait communément quarante livres et tous les chevaliers de la cour chacun un franc, et les écuyers chacun un demi-franc. La somme montait à près de cent francs que l’on donnait au père et à la mère pour que leur enfant fût élevé à l’école. Le royaume de France se partageait alors en langue d'oc où l’on fabriquait toujours un gâteau des rois (la recette de la pâte variant suivant les régions : flamusse de Bresse, patissous du Périgord, coque des rois ariégeoise, Royaume des cévennes, garfou du Béarn, goumeau de Franche Comté, etc.) et langue d'oïl où l’on préparait dès le XVe siècle un dessert de pâte sablée fourré de crème d’amandes qui devient plus tard une pâte levée à la levure de bière nommée gorenflot.
 
On tirait les Rois même à la table de Louis XIV. Dans ses Mémoires, Françoise de Motteville écrit, à l’année 1648, que : « Ce soir, la reine nous fit l’honneur de nous faire apporter un gâteau à Mme de Brégy, à ma sœur et à moi ; nous le séparâmes avec elle. Nous bûmes à sa santé avec de l’hippocras qu’elle nous fit apporter. » Un autre passage des mêmes Mémoires atteste que, suivant un usage qui s’observe encore dans quelques provinces, on réservait pour la Vierge une part qu’on distribuait ensuite aux pauvres. « Pour divertir le roi, écrit Françoise de Motteville à l’année 1649, la reine voulut séparer un gâteau et nous fit l’honneur de nous y faire prendre part avec le roi et elle. Nous la fîmes la reine de la fève, parce que la fève s’était trouvée dans la part de la Vierge. Elle commanda qu’on nous apportât une bouteille d’hippocras, dont nous bûmes devant elle, et nous la forçâmes d’en boire un peu. Nous voulûmes satisfaire aux extravagantes folies de ce jour, et nous criâmes : La reine boit ! » Avant Louis XIV, les grandes dames qui tiraient la fève devenaient reines de France d’un jour et pouvaient demander au roi un vœu dit « grâces et gentillesses » mais « le Roi Soleil » abolit cette coutume.
 
Louis XIV conserva toujours l’usage du gâteau des Rois, même à une époque où sa cour était soumise à une rigoureuse étiquette. Le Mercure galant de janvier 1684 décrit la salle comme ayant cinq tables : une pour les princes et seigneurs, et quatre pour les dames. La première table était tenue par le roi, la seconde par le dauphin. On tira la fève à toutes les cinq. Le grand écuyer fut roi à la table des hommes; aux quatre tables des femmes, la reine fut une femme. Alors le roi et la reine se choisirent des ministres, chacun dans leur petit royaume, et nommèrent des ambassadrices ou ambassadeurs pour aller féliciter les puissances voisines et leur proposer des alliances et des traités. Louis XIV accompagna l’ambassadrice députée par la reine. Il porta la parole pour elle, et, après un compliment gracieux au grand écuyer, il lui demanda sa protection que celui-ci lui promit, en ajoutant que, s’il n’avait point une fortune faite, il méritait qu’on la lui fit. La députation se rendit ensuite aux autres tables, et successivement les députés de celles-ci vinrent de même à celle de Sa Majesté. Quelques-uns même d’entre eux, hommes et femmes, mirent dans leurs discours et dans leurs propositions d’alliance tant de finesse et d’esprit, des allusions si heureuses, des plaisanteries si adroites, que ce fut pour l’assemblée un véritable divertissement. En un mot, le roi s’en amusa tellement, qu’il voulut le recommencer encore la semaine suivante. Cette fois-ci, ce fut à lui qu’échut la fève du gâteau de sa table, et par lui en conséquence que commencèrent les compliments de félicitation. Une princesse, une de ses filles naturelles, connue dans l’histoire de ce temps-là par quelques étourderies, ayant envoyé lui demander sa protection pour tous les évènements fâcheux qui pourraient lui arriver pendant sa vie. « Je la lui promets, répondit-il, pourvu qu’elle ne se les attire pas. » Cette réponse fit dire à un courtisan que ce roi-là ne parlait pas en roi de la fève. À la table des hommes, on fit un personnage de carnaval qu’on promena par la salle en chantant une chanson burlesque. La galette proprement dite (pâte feuilletée plus crème frangipane) apparut au XVIIe siècle, Anne d’Autriche et son jeune fils Louis XIV en partagèrent une la veille de l’Épiphanie de 1650.

Une galette des Rois entamée.

En 1711, le Parlement délibéra, à cause de la famine, de le proscrire afin que la farine, trop rare, soit uniquement employée à faire du pain. Au commencement du XVIIIe siècle, les boulangers envoyaient ordinairement un gâteau des Rois à leurs pratiques. Les pâtissiers réclamèrent contre cet usage et intentèrent même un procès aux boulangers comme usurpant leurs droits. Sur leur requête, le parlement rendit, en 1713 et 1717, des arrêts qui interdisaient aux boulangers de faire et de donner, à l’avenir, aucune espèce de pâtisserie, d’employer du beurre et des œufs dans leur pâte, et même de dorer leur pain avec des œufs. La défense n’eut d’effet que pour Paris et l’usage prohibé continua d’exister dans la plupart des provinces. Quand vint la Révolution, le nom même de « gâteau des Rois » fut un danger et Manuel, du haut de la tribune de la Convention, tenta sans succès d’obtenir l’interdiction du gâteau des Rois (son nom fut même un temps remplacé par la galette de l’égalité), mais la galette triompha du tribun. Peu après, un arrêté de la Commune ayant changé le jour des Rois en « jour des sans-culottes », le gâteau n’eut plus sa raison d’être, mais cette disparition ne fut que momentanée car il reparut bientôt sur toutes les tables familiales dès que la conjoncture le permit.
 
Un produit industriel de grande consommation
 
Plus de 80 % des galettes des rois vendues à Paris sont des produits industriels que les commerçants (boulanger/pâtissier, terminaux de cuisson, grande distribution) se contentent de cuire5.
 
La fève
 
À la fin du XVIIIe siècle, des fèves en porcelaine apparurent, représentant l’enfant Jésus en porcelaine. Sous la Révolution, on remplaça l’enfant Jésus par un bonnet phrygien. Les graines de fève furent systématiquement remplacées en 1870 par des figurines en porcelaine ou – plus récemment – en plastique. Pour la petite histoire, l'Élysée accueille chaque année une galette sans fève car tirer les rois ne s'accorde pas avec l'idée de démocratie. De nos jours, si on trouve toujours de vraies fèves, il existe une multitude de fèves fantaisie qui font le bonheur de collectionneurs : la collection de ces petits objets se nomme la fabophilie.
 
Dans le reste du monde
 
Le gâteau des Rois est passé, avec les émigrants français, dans le Nouveau Monde, et il est de coutume de le consommer à La Nouvelle-Orléans lors du Mardi Gras : il consiste en une espèce de brioche au glaçage aux couleurs violette, verte et or, traditionnelles du carnaval quelquefois fourrée de fromage à la crème et de pralines.
 
On trouve des coutumes similaires selon les pays et les régions, qui utilisent d’autres recettes de pâtisserie :
 
Tortell catalan. En Belgique, la pratique est très répandue (elle porte le nom de driekoningentaart en Belgique néerlandophone) ;
 le pithiviers dans le Loiret ;
 le gâteau des Rois, le pastis, le royaume ou la brioche dans le Sud de la France ;
 la galette comtoise (galette sèche à base de pâte à chou recouverte de sucre et de beurre, aromatisée à la fleur d’oranger) ;
 la nourolle en Normandie
 le tortell en Catalogne ;
 le roscón en Espagne ;
 le king cake au Sud des États-Unis ;
 le bolo rei au Portugal ;
 la rosca au Mexique ;
 la vassilopita en Grèce.

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 12:18

       
Festivités autour du monde
 
Allemagne
 
Les Allemands fêtent le réveillon de la Saint-Sylvestre ou « Silvester » entre amis. À minuit, il y a partout des feux d'artifice1 et des pétards ; à l'origine le bruit était censé faire fuir les mauvais esprits. Aujourd'hui, c'est plus l'accueil de la nouvelle année. Souvent on interroge aussi l'avenir en fondant du plomb qu'on jette dans de l'eau, puis il faut essayer d'interpréter la forme obtenue. À minuit la radio ou la télévision est allumée pour écouter les cloches de minuit et se souhaiter une bonne année reveillon berlinavec du champagne. Régulièrement, des voix s'élèvent contre le gaspillage de l'argent investi dans les feux d'artifice.
 
AustralieTop-New-year-Destinations-for-2012 340x0
 
Du fait des fuseaux horaires, Sydney est, après Auckland en Nouvelle-Zélande, la deuxième grande ville à célébrer le nouvel an.
 
Avec des foules très supérieures à 1,2 million de participants, Sydney abrite probablement les célébrations les plus importantes au monde, après Rio de Janeiro (2 millions de personnes sur la plage de Copacabana) et avant New York et Londres (entre 800 000 et 1 000 000 de personnes). Cette ville portuaire bénéficie à cette époque de l'année d'un été chaud et d'un remarquable amphithéâtre naturel. Plus de 80 000 feux d'artifices sont traditionnellement mis à feu depuis le Harbour Bridge et quatre emplacements alignés sur six kilomètres le long du port de Sydney. L'évènement peut être vu à seize kilomètres à la ronde et attire en moyenne 300 000 touristes étrangers chaque année.
 
La parade des lumières du port ajoute au spectacle avec ses bateaux illuminés qui croisent toute la nuit au centre du port.
 
En 2005, les organisateurs de la fête firent tirer leur feu d'artifice le plus spectaculaire : un cœur gigantesque entouré de deux anneaux, qui battait sur le pont. Il était éclairé par l'arrière et semblait irradier. C'était la première fois que l'effet du pont était révélé dès 21 h. Jusqu'à minuit, un nouvel anneau fut ajouté à chaque heure. Le cœur du port était une extraordinaire fête pyrotechnique. Le pont perpétua aussi la tradition de la cascade d'or qui tombe depuis le côté du pont en donnant l'impression d'en jaillir. La bande son préparée par le conseil de Sydney s'adaptait si bien que les feux d'artifices semblaient créés par la musique. Après la chanson du final et les feux d'artifices de minuit, le plus petit cœur se mit à battre faiblement mais rapidement comme pour témoigner de l'ampleur de l'évènement.
 
Pour 2006, le conseil mit en place un site web, qui montrait un compte à rebours du nombre de secondes qui nous séparaient de 2007. Le thème était « une nuit de diamant dans une cité d'émeraude ». Les enfants furent invités à taper du pied trois fois pour « déclencher quelque chose de magique » à la manière de Dorothée au pays d'Oz. Les feux d'artifices furent tirés depuis huit barges différentes autour du port, soit quatre de plus que d'habitude. Les organisateurs installèrent un diamant géant au centre du pont.
 
     
Brésil
 
La nuit du nouvel an, « Véspera de Ano Novo », est une des fêtes les plus traditionnelles du Brésil. Dans toutes les villes, on tire des feux d'artifices à minuit et on fait des spectacles musicaux. La fête la plus célèbre est celle de la plage de Copacabana, à Rio de Janeiro. La ville de São Paulo organise la course de la Saint Sylvestre (Corrida de São Silvestre) à travers les rues entre l'avenue Paulista et le centre-ville. Des athlètes du monde entier, et même des champions olympiques comme le coureur kényan Paul Tergat, y participent.
     
Canada
 
Particulièrement au Canada français et chez les Acadiens on se réunit en famille (oncles, tantes, cousins, etc.) et on fête avec de la musique traditionnelle. À 23 h 59, on arrête la musique et le décompte du Jour de l'an commence pour se terminer dans les embrassades et les échanges de voeux. La musique reprend ensuite et on sert le repas vers 1 h aux « fêteux » qui sont encore là et la soirée se termine vers 3h. Également, depuis les années 70, les Québécois ont pour tradition d'écouter les émissions de fin d'année à la télé nationale. Généralement, l'émission qui porte le nom de "Bye Bye" est l'émission la plus regardée de toute la saison de la télévision québécoise selon les cotes d'écoute de Sondages BBM.
 
Colombie et Équateur
 
À l'occasion des célébrations de l'« Año Viejo », les Colombiens et Équatoriens brûlent des marionnettes faites de bois, de papier journal et de chiffons, garnis d'artifices pyrotechniques. Ces personnages représentent symboliquement les détritus de la vieille année et font souvent référence à des événements de l'année écoulée mettant en cause des politiciens détestés, des références de la culture populaire, etc.
     
Espagne
 
Les célébrations du nouvel an (Nochevieja ou Fin de Año) commencent habituellement avec un dîner familial, comprenant des crevettes et de l'agneau ou de la dinde. Le compte à rebours est suivi sur l'horloge du building de la Casa de Correos au square de la Puerta del Sol à Madrid. Il est de tradition de manger 12 grains de raisin, un à chaque coup de minuit sonnant au carillon. Cette coutume remonte à 1909, lorsque des vignerons d'Alicante pensèrent que ce pourrait être un moyen de remédier au surplus de production de cette année-là. De nos jours, la tradition est suivie par à peu près tous les Espagnols et les douze grains de raisin sont devenus inséparables du nouvel an. Après le douzième coup de minuit, les gens se congratulent et portent des toasts avec du vin pétillant comme le cava et le champagne, ou avec du cidre.
 
Après le dîner en famille et les douze grains de raisin, beaucoup de jeunes gens se rendent aux fêtes de nouvel an dans les pubs, les discothèques et autres. Ces fêtes sont appelées cotillones de nochevieja, du mot espagnol « cotillón » qui désigne les accessoires de fête tels que les confetti, les langues de belle-mère, les chapeaux, etc. Les fêtes durent habituellement jusqu'à l'aube et peuvent réunir plusieurs milliers de personnes dans les grands hôtels. Tôt le matin, les fêtards se réunissent pour le traditionnel petit déjeuner composé de chocolate con churros (chocolat chaud et beignets).
     
États-Un3eb83e65-a2b8-4c7a-bcfa-f94518f32acf.jpgis
 
Times Square, à Manhattan, est l'endroit où les New-Yorkais se réunissent pour célébrer le passage à la nouvelle année
Aux États-Unis, le réveillon du Jour de l'an (New Year's Eve) est une fête importante. Depuis un siècle, la chute de la boule depuis le sommet du n°1 Times Square à New York est l'une des principales composantes des cérémonies, retransmise en direct à la télévision. La boule de cristal, qui mesure deux mètres de diamètre et pèse une demi-tonne, commence à descendre à 23h59 et atteint le sol au pied de la tour à minuit. On la surnomme parfois « la grosse pomme », comme la cité elle-même. Cette coutume dérive d'un signal utilisé autrefois pour indiquer minuit dans les ports. De 1982 à 1988, la cité a fait descendre une gigantesque pomme en référence à son surnom. La chanson Auld Lang Syne est traditionnellement chantée à minuit.
 
Plusieurs communautés religieuses ont pour habitude de célébrer une veillée à la veille du Nouvel An. Les fidèles se rassemblent pour l'office dans la soirée et continuent après minuit. Ils remercient pour les bénédictions de l'année écoulée et prient pour l'année à venir. Cette pratique a probablement pris naissance dans la communauté afro-américaine avant d'être adoptée par John Wesley, le fondateur du méthodisme. Cette veillée prit une signification particulière pour les afro-américains en 1862, alors que les esclaves attendaient avec impatience leur émancipation, fixée au 1er janvier 1863 par la Proclamation d'Émancipation. Cette nuit particulière est depuis connue sous le nom de « nuit de la liberté ».
 
À travers les États-Unis, de nombreuses autres villes célèbrent également l'évènement d'une manière un peu similaire en faisant descendre toutes sortes d'objets symboliques pendant le compte à rebours, avant le déclenchement du feu d'artifice. Depuis une initiative de Boston, en 1976, une soixantaine de villes célèbrent aussi à cette occasion la « première nuit » : une fête de famille sans alcool.
 
France et Belgiquereveillon-paris.jpg
 
On y organise un dîner de fête avec, entre autres, du champagne et du foie gras. Il peut s'agir d'un simple dîner entre amis ou d'une soirée dansante. Le jour de l'an, les familles et les amis échangent les vœux du nouvel An, prennent de bonnes résolutions et parfois échangent quelques cadeaux (les étrennes). À minuit, on se souhaite traditionnellement une bonne année en s'embrassant sous le gui, puis on va dans la rue en criant « Bonne année ! » et en faisant beaucoup de bruit (trompette, klaxon, etc.). La Saint-Sylvestre est également l'occasion donnée au Président de la République française de transmettre ses vœux présidentiels en diffusion différée à 20 heures sur les principales télévisions françaises depuis le palais de l'Élysée.
 
Tous les ans à Paris, beaucoup de personnes se réunissent sur l'avenue des Champs-Élysées ou sous la tour Eiffel, pour fêter le passage à la nouvelle année avec quelques petits feux d'artifice. Cependant, ces dernières années, la tradition des feux d'artifice à Paris s'est arrêtée2.
 
La période des fêtes se termine avec l'Épiphanie, jour où l'on partage traditionnellement la galette des Rois.
     
Hong Kong
 
À Hong Kong, les gens se réunissent habituellement à Central, à Causeway Bay et sur le port de Tsim Sha Tsui pour admirer les illuminations des buildings le long du port. Pour le compte à rebours vers la nouvelle année, ils se rassemblent à Times Square et à Ocean Terminal.
 
Royaume-Uni
 
L'Angleterre célèbre le nouvel an en attendant que Big Ben ou une autre horloge sonne minuit. Habituellement, les participants comptent les dix dernières secondes e3057158207_1_15_e9W34q36.jpgt chantent Happy New Year au moment du zéro. Le carillon de minuit est habituellement accompagné de feux d'artifices.
 
En Écosse ont lieu aussi de grandes festivités connues sous le nom de Hogmanay. En particulier, la réputation de la Edinburgh Hogmanay Street Party lui attire de nombreux visiteurs du monde entier. La chanson traditionnelle Auld Lang Syne a été écrite par Robert Burns, un poète écossais.
 
Turquie
 
Célébration de la nouvelle année 2007 en Lituanie.
Dans ce pays à majorité musulmane mais qui utilise le calendrier grégorien, le 31 décembre est considéré comme un jour de fête où l'on se réunit avec les amis et les proches. La plupart des traditions liées à la célébration de Noël dans les pays de tradition chrétienne sont reprises pour fêter le nouvel an, comme décorer un sapin ou échanger des cadeaux. Le dîner de ce jour-ci est organisé de façon festive. Il est courant de compter les 10 dernières secondes et d'éteindre les lumières à minuit pile pour quelques minutes.

 

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 09:31

boxing-day.jpg

Le Boxing Day ou le Lendemain de Noël est le jour du 26 décembre dans plusieurs pays du Commonwealth et dans certaines îles des Caraïbes. Ce jour là, la tradition veut que l'on distribue des cadeaux aux plus pauvres. Aujourd'hui, il s'agit surtout d'une fête commerciale où les magasins font des soldes.
 
Légalement défini comme le premier jour ouvrable après Noël, il peut également être reporté à une autre journée.
Le terme Boxing Day vient de l'anglais et se traduit littéralement en français par « jour des boîtes ».
 Origine
 
Plusieurs hypothèses existent sur l'origine du Boxing Day, mais la plus courante est que les serviteurs et les marchands recevaient les cadeaux de leurs employeurs lors du premier jour ouvrable après Noël, le lendemain des célébrations en famille. Une autre explication suggère qu'il s'agissait du jour où les prêtres ouvraient les troncs des églises et en distribuaient le contenu aux pauvres dans une petite boîte.
 
Traditions
 
Dans de nombreux pays du Commonwealth, un jour férié fixe coïncidant avec un samedi ou un dimanche est systématiquement observé le jour ouvrable suivant. Si le jour de Noël tombe un vendredi, le lundi suivant sera férié; si le jour de Noël est un samedi, le lundi et le mardi seront alors tous les deux fériés.
 
Au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande, les commerces profitent de cette fête pour vendre leur inventaire de Noël à des prix d'aubaine. Souvent, ces ventes importantes durent la semaine entière entre Noël et le jour de l'An (les soldes d'Après-Noël).

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 16:47
Partager cet article
Repost0
16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 13:39

Christmas-tree-beautifully-decorated-HD-wallpaper-1-.jpgC'est en Alsace, vers le 16ème siècle, qu'est née la mode des sapins de Noël. Une gigantesque arbre était planté au milieu de la place de l'hôtel de ville et était décoré de pommes. Spectacles et danses se déroulaient autour de lui.
Puis il fit son entrée dans les maisons, mais à ses début, il était suspendu au plafond, une pomme fixée à son tronc. Plus tard, il fut placé dans un bac rempli de sable et décoré de friandises. On secouait l'arbre pour faire tomber les surprises qu'il contenait.
Ce sont les allemands qui ont commencé à y accrocher des objets de plus en plus décoratifs; noix peintes, pommes colorées, figurines en sucre, etc... Vint ensuite les figurines de verre ou de papier mâché, représentant des anges, des instruments de musique, animaux, etc...

 

Une légende raconte que, durant la nuit, des araignées, heureuses de se trouver là, avaient recouvert l'arbre de toiles grises. Le père-Noël les transforma en fils d'or et d'argent afin de rendre l'arbre encore plus beau. C'est pourquoi on place des guirlandes sur le sapin de Noël. Alors si vous voyez une petite araignée se faufiler entre les aiguilles de votre sapin, n'y touchez pas ! Elle a largement contribué à la beauté de votre arbre!

 

Plus sérieusement, il faut savoir que les arbres qui nous sont vendus pour cette occasion sont issus de pépinières et sont élevés pour ce seul usage. De plus en plus pourtant, on voit apparaître dans les maisons des arbres synthétiques. Les avantages sont énormes: plus d'aiguilles disséminées partout, le sapin se conserve bien plus longtemps et plus de corvée de déchetterie ! Bien sûr, il n'a pas le bon parfum d'un vrai sapin, mais on peut remédier à cet état de fait en vaporisant un peu d'essence de sapin près de l'arbre. Et quelques vraies branches de sapin glissées entre les fausses donneront, d'année en année, un air nouveau à votre arbre. Les sapins artificiels sont de plus en plus beaux. Fini le temps de ces sapins hideux, sentant le faux à des kilomètres ! Maintenant, il faut en toucher les aiguilles pour voir la supercherie.

 

Quel que soit votre choix, vrai ou faux sapin, je souhaite qu'un fois décoré, votre arbre soit le plus beau du monde. Et il le sera, je vous le garanti!

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 19:43
Partager cet article
Repost0
10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 08:46
¨Cette video est une mise en garde des vaccins. Soyez informer et formez votre propre opinion avant de décider.
 
Avant de vacciner, informez vous des dangers. Les vaccins ne sont pas anodins!
 
 Youtube offre de nombreuses vidéos à ce sujet;vaccins contre la grippe, les vaccins et la montée de l'autisme, vaccin col de l'utérus et plus encore.
 
 Quelque soit votre opinion, ne suivez pas aveuglément la propagande des vaccins. Informez vous avant sans culpabiliser et interrogez vous si vous ne suivez pas une habitude qui date depuis des décennies. Pensez aux millions que gagnent les compagnies pharmaceutiques, les risques d'un tel acte et l'efficacité réelle de la multi vaccination.
 
 J'ai mis un lien d'une vidéo mais il y en a plusieurs, c'est vraiment choquant
¨Cette video est une mise en garde des vaccins. Soyez informer et formez votre propre opinion avant de décider.
 
Avant de vacciner, informez vous des dangers. Les vaccins ne sont pas anodins!
Partager cet article
Repost0
6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 17:18

1356-assortiment-de-bonbons-1-.jpgUne récente étude menée aux Etats-Unis place les bonbons en tête de liste des aliments les plus susceptibles de causer un étouffement chez les enfants.

Décidément, les bonbons ont mauvaise presse. Depuis longtemps mis en cause dans le développement des caries, voilà qu’ils sont désignés comme première source d’étouffement des enfants. Pas de quoi ravir les enfants !
 
Les bonbons largement devant les autres aliments
 
Cette étude publiée dans la revue Pediatrics avait pour but de déterminer les principaux aliments responsables de l’étouffement des enfants de moins de 14 ans. Pour ce faire, les chercheurs se sont servis des données des urgences pédiatriques des hôpitaux américains. Et force est de constater que les bonbons arrivent avec une belle avance sur les autres aliments. En effet, sur les 112 000 cas d’étouffements traités aux urgences entre 2001 et 2009, 15% étaient dus aux bonbons durs et 12,8% aux bonbons mous (guimauve). Soit plus d’un étouffement sur quatre. La viande complète le podium avec 12%, devant les os, les fruits et les graines.
 
Des précautions à prendre
 
Dans 90% des cas, les parents n’ont pas eu à s’inquiéter bien longtemps, leurs enfants étant traités rapidement puis renvoyés chez eux. Mais cela implique quand même 10% d’hospitalisations suite à un étouffement alimentaire. Le chiffre n’est pas négligeable. Par ailleurs, il ne faut pas croire que cela touche en majorité les petits n’ayant pas toutes leurs dents. L’âge moyen des enfants traités est en effet de 4-5 ans. Pour éviter d’en arriver là, les auteurs de l’étude préconisent de mieux étiqueter les produits et surtout, ils recommandent aux parents d’être attentifs à tout ce que leurs enfants avalent, voir même d’éviter de leur donner des bonbons et des chewing-gums avant 5 ans.

Partager cet article
Repost0
30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 16:43
Historique du lange à la couche-culotte.

 

 

Une couche culotte (aussi appelée tout simplement "couche") est un système dont l’utilité est de retenir l’urine et les déjections d’un bébé ou d’un adulte ( geriatrie,incontinence ,....). Sauf en cas de pratique de l’hygiène naturelle, elles sont généralement utilisées dès la naissance jusqu’au jour où l’enfant est "propre" (c’est-à-dire qu’il sait se retenir et aller là où c’est nécessaire quand c’est nécessaire), soit environ 2 ans et demi. Les enfants utilisent généralement environ 2000 couches par an, ce qui représente donc un total de 5000 à 6000 couches.

HISTORIQUE

On s’aperçoit vite que l’histoire du lange est restée presque la même jusqu’a l’arrivée de ces fameuses (fumeuses, fumantes ?) couches-culottes.

- Cela commence dès la Rome antique, et il ne faisait pas bon être bébé à cette période. En effet, les langes étaient indissociables d’un emmaillotement qui devait éviter que l’enfant ne se déforme !! Cela consistait donc en un carré de tissu pour le lange à « proprement » parler, puis des bandelettes et des attelles pour maintenir les membres droits . Bon, mais les docteurs de l’époque, pas ccouche-20culottes-1-.jpgomplètement cinglés, veillaient tout de même à ce que les extrémités ne soient pas privées d’irrigation sanguine .

- Durant le moyen-âge la technique évolue peu et elle est, pour ainsi dire, la même. Sauf qu’il ne fallait surtout pas laver l’enfant, la crasse étant une protectrice reconnue. De toutes façons, les langes étaient tellement serrés, car faisant partie intégrante de l’emmaillotage, qu’ils en devenaient imperméables et que le pauvre bambin macérait dans son urine et ses excréments pendant de (trop) longues périodes. Et lorsqu’enfin on le libérait de ce carcan putride, c’était pour vite le nettoyer avec de l’huile ou du beurre et l’emmailloter de nouveau avant qu’il ne devienne informe ! Ces pauvres choux étaient rongés de dartres, boutons et autres gales. Mais enfin, ils faisaient quoi les services sanitaires !!??

- A l’ouest d’Amérique de l’époque des pionniers, des couches humides étaient rarement lavés- la plupart du temps ils ont juste accroché au coin du feu pour sécher et ont ensuite été utilisés à nouveau. - En Europe, il a fallu attendre la révolution industrielle à partir de 1820 que la population active a commencé en prenant soin de contenir des déchets de leur bébé avec plus de soin, après avoir acquis suffisamment de richesse pour acheter des meubles du ménage et la nécessité de le protéger.

- D’ici la fin de 1800 nouveau-nés en Europe et en Amérique du Nord portaient l’ancêtre de la couche moderne. Un carré ou un rectangle de toile, de la flanelle de coton, ou de tricot a été plié en une forme rectangulaire et maintenu en place avec des épingles de sûreté. La masse d’abord fait des couches en tissu ont été introduites par Maria Allen en 1887 aux États-Unis.

- L’humanité a appris sur les moyens de réduire l’érythème fessier qu’après il y avait une meilleure compréhension des bactéries, des virus, des champignons, et a été en mesure de comprendre la façon de les tuer, ou du moins la façon de les contrôler. Bouillir une grande marmite pleine de couches requises de grandes quantités d’énergie et de temps. Probablement certains lecteurs dans leurs 40’s, 50’s et plus, mai rappelle encore le grand pot en acier utilisé pour faire bouillir les couches usagées de nos (jeunes) frères ou sœurs, et puis les « cérémonies" pendaison des couches mouillées pour leur permettre de sécher à le soleil. Pour une simple leçon sur l’art du pliage de couches : la couche de pliage 101. Toutefois, cela est inacceptable pour les « bébés révolution industrielle" et la nouvelle société en évolution basée sur le rêve américain ». Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’augmentation du nombre de mères qui travaillent a créé le besoin pour le service de "couches". Les formes précoces de tissu à base de tampons jetables sous-couches et des encarts ont été publiées au début de cette décennie en Suède.

- Mais la France reste attachée à cet emmaillotement inhumain jusqu’au début du XXème siècle où seulement alors, on se décide à utiliser juste des langes de coton et/ou chanvre lavables au niveau des fesses et du bassin qu’on attachait avec des épingles à nourrices. On appelle désormais ces langes couches-culottes.

- Quelques années plus tard, en 1946, aux États-Unis, une ménagère de Westport, nommée Marion Donovan a inventé le « Canotier », un imperméable pour les couches en tissu. Son premier modèle de la couche jetable a été faite rideau de douche en plastique dans lequel une couche de coton conventionnel a été insérée. Marion a été accordé quatre brevets pour ses dessins, y compris l’utilisation des boutons-pression en plastique qui a remplacé le traditionnel et dangereux "épingles de sûreté". pour créer la première couche jetable avec le tissu non tissé à usage unique. Le résultat fut la CHUX couches jetables, une pièce rectangulaire, une couche première, faite en 1949. En 1950 Pauliström lancé une couche « tableau », des rouleaux de ouate de cellulose à l’intérieur d’une maille tricotée que les consommateurs ont dû découper et ajuster dans les culottes réutilisables.

- La couche jetable est un « luxe » élément, puis, utilisée uniquement pour les occasions spéciales, comme des voyages de vacances, de visites à des parents ou du médecin. Les « vraiment jetables » premières couches sont faites en utilisant un plan rectangulaire très simple.

- Pour un temps historique de la ligne complète des couches jetables aux États-Unis et le monde, s’il vous plaît visitez : Time-Line

- Au cours du change 50, il y avait peu en termes de conception fessier. Au cours de cette décennie, Kendall, Parke-Davis et Playtex a pénétré le marché avec des versions simple couche. La part de marché des couches jetables est très faible en raison du coût unitaire élevé de la couche et son rendement faible. En 1957, Molnlycke entrée sur le marché avec un produit obtenu de la pâte à papier encapsulé dans les tissus et entourées d’un filet de bonneterie. La couche a été, cependant, n’étaient pas lancés dans le marché jusqu’en 1961.

La première couche-culotte jetable voit le jour en 1956. Après quelques années de « peaufinage » elle sera commercialisée à la fin des années 1960 sous le label « Pampers ». ( [to pamper] veut dire choyer, dorloter en anglais).

- Des années 60 à nos jours, la couche jetable évolué rapidement que l’industrie a appris les exigences de la mère. Utilisant des fibres de cellulose au lieu de papier amélioré les performances de la couche. Avec la Pampers, lancé au printemps de 1961, la nouvelle couche de bébé fut un hit "smash". Avec le développement des nontissés meilleure, plus douce feuilles supérieure faits de rayonne commencé transformer la couche de bébé - Il a été proposé en deux tailles, moyennes et grandes. La couche a été faite très épaisse afin de réduire les fuites, certaines couches moyennes avaient un poids de 65 gr. et même plus ! La couche-culotte ne disposent pas de moyens pour la fixation car il n’y avait pas de bandes latérales incluses. Cette situation a créé un problème pour le consommateur, car ils avaient besoin d’avoir des bandes très pratique pour utiliser la couche. En 1966, Pampers a lancé un nouveau C-fold conception et en 1969 une taille "tiers". Une machine typique fessier commerciaux couru à des vitesses de 150 couches par minute. Les couches les meilleures avaient des valeurs fuite globale de 8 à 10%.

- 70 s’est avéré être l’explosion du baby-boom de l’industrie des couches jetables dans les pays développés et même dans certaines autres régions moins développées du monde. La concurrence entre Procter & Gamble et Kimberly Clark de posséder le marché du fessier monde conduit à des améliorations rapides de conception de couches et les faibles prix pour le consommateur. La pénétration du marché ont eu une augmentation exponentielle aux Etats-Unis, en Europe et au Japon. En Amérique latine aussi nombreux pays ont connu cet essor, dont le Mexique, l’Argentine et le Chili. Cette nouvelle invention a été introduit par Johnson & Johnson en 1970. Amélioration de pliage de la couche en utilisant le « double Z » ou « pré-plié" concept de couches, l’introduction de « hot melt » au lieu de colles à froid pour la réduction des « temps ouvert » qui a entraîné dans l’accélération des vitesses de lignes de fabrication de couches et de plus d’options en termes de taille élargie de la demande à un rythme rapide. Pouvoir absorbant totale de la couche augmente régulièrement et les machines à couches commencé à courir à la vitesse incroyable de 250 couches par minute.

- Certaines observations ont commencé à apparaître des médecins bébés se plaindre de la majeure partie de la couche absorbante à l’entrejambe et de ses effets sur les os en développement des bébés. La forme de la couche changé pour un meilleur ajustement, de l’ancienne « forme rectangulaire" à une forme plus moderne de « sablier ». En 1975, le sablier en forme de "Luvs » a été introduite sur le marché américain. Kimberly Clark a présenté en 1976 sa forme de couches Huggies. Absormex a démarré ses activités au début de cette décennie à Monterrey au Mexique en 1981 et Carlos Richer commencé à travailler pour Absormex en 1984 Juin, une date à retenir tout sur l’histoire de couche-culotte, au moins pour moi !

- En 1981 et 1982, deux compagnies de lancement sur le marché américain ce qui était prétendu être un "bio-dégradable » fessier.

- L’utilisation d’élastomères en 1983 amélioré l’ajustement de la couche. Le non-tissé a été changé de rayonne au polypropylène thermique-Bond, qui a fourni un toucher plus doux et plus confortable pour le bébé. Ce fut un échec mondial sur le marché et a été abandonné quelques années plus tard en 1986. Une bande frontale a été d’abord développé en Europe afin de permettre à la mère de la commodité de pouvoir ouvrir et fermer les couches autant de fois que nécessaire, sans déchirer le film. Au début de la décennie, un mouvement écologique a attaqué l’industrie, en faisant valoir les problèmes écologiques créés par l’utilisation de la couche jetable. Cela a été plus marquée en Europe et au Canada et avec moins d’intensité dans les États-Unis et l’Amérique latine.

Elles ont, certes beaucoup évolué de nos jours, notamment au niveau de l’ergonomie (pression, velcro, avec le petit élastique là !) et de leur pouvoir absorbant. Ce qui est notable, c’est que la composition de ces couches-culottes reste obscure du fait qu’elle n’est pas clairement indiquée sur les paquets. On suppose de la pâte de bois, des polymères (pétrole) et de nombreux produits chimiques.

La couche-culotte jetable, c’est 4-5 heures d’utilisation pour 500 ans de dégradation (sauf incinération qui pollue elle aussi).

Chez les Amérindiens, la maman mettait son bébé sur son dos, tout nu, dans son manteau. Avec de la mousse en guise de couche. Économique et écologique !

Aujourd’hui les couches jetables se sont imposées sur le marché.

COUCHES JETABLES

Les couche-culotte jetables sont composées essentiellement de pâte à bois (blanchie au chlore), de plastique et de divers produits chimiques dont le but est de camoufler les odeurs, de parfumer, d’absorber les liquides ou les transformer en gel.

Chaque bébé, avant d’atteindre le stade de la propreté, utilise environ une tonne de couches-culottes. Cela représente autant de déchets (non compostable) qui finissent à la poubelle.

COUCHES LAVABLES Une couche lavable est une couche formée comme une jetable, que l’on ferme grâce à des pressions ou des velcros. Les modèles varient pour s’adapter à chaque bébé et aux besoins de chaque famille.

Ces couches lavables sont fabriquées le plus souvent à partir de coton (bio ou non), de flanelle, de polyester ou encore de chanvre ou bambou.

Pour plus d’absorption et selon les modèles, vous pouvez ajouter une doublure à l’intérieur de la couche — très utile pour les nuits, les siestes et les enfants qui urinent beaucoup. Celle-ci peut être de différente matières, tout comme la partie absorbante.

Au dessus de cette couche en tissu, vous rajoutez une culotte de protection imperméable, qui réduit le risque de fuites.

Il existe aussi des couches lavables dites "intégrales". Ces couches sont en une seule partie, et n’ont pas besoin de culotte de protection, car la partie extérieure de ces couches est imperméable.

Il existe également des couches intégrales où l’on peut glisser à l’interieur la partie absorbante de la couche, par le biais d’une poche. Ce système a l’avantage de faire secher plus vite la partie absorbante après le lavage. La couche à poche peut etre utilisée comme culotte

 

.http://www.eco-couche.com/Historique-du-lange-a-la-couche.html

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de ludo-lidia.over-blog.com
  • : Publications d' articles, d'astuces et d'anecdotes liés à l'enfance et l'adolescence. Evènements mensuels expliqués aux petits sous forme de vidéos avec mes marionnettes Cécile et Basile. Invitation voir mon site pour enfants dès 3 ans WWW.ludo-lidia.com. Adepte de l'enseignement précoce d'une 2ème langue car je suis maitresse d'anglais pour les petits.
  • Contact

Profil

  • Les enfants et nous par ludo-lidia.over-blog.com
  • J'enseigne l'anglais aux petits dès 3 ans à l'école mais aussi sur mon site WWW.ludo-lidia,com. J'aime faire de petites vidéos sur les évènements du mois avec mes marionnettes Cécile et Basile. Je poste des articles:enfance et ados.
  • J'enseigne l'anglais aux petits dès 3 ans à l'école mais aussi sur mon site WWW.ludo-lidia,com. J'aime faire de petites vidéos sur les évènements du mois avec mes marionnettes Cécile et Basile. Je poste des articles:enfance et ados.

Texte Libre

Recherche