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29 août 2012 3 29 /08 /août /2012 14:37

toddlercries

Nausées, céphalées... Nombreux sont les enfants qui souffrent de ces maux au moment d’aller à l’école. Face à eux, des parents désemparés qui ne parviennent pas à faire la différence entre comédie et véritable détresse émotionnelle. Pourtant, la phobie scolaire est une réelle maladie dont les causes et les conséquences restent mal connues.Témoignage d’une de nos lectrices et décryptage avec le psychiatre Marie-France Le Heuzey.

 

 

Aujourd’hui, la phobie scolaire concernerait de 1 à 5% des enfants scolarisés en France et ce phénomène serait en augmentation. Or, contrairement à ce que l’on pourrait penser, les enfants qui se rendent malades à l’idée d’aller à l’école ne sont ni paresseux, ni démotivés. En effet, en tant que parents, il faut avant tout se rendre à l'évidence : un enfant phobique est un enfant malade ! Ainsi, les petits phobiques scolaires éprouvent une profonde angoisse qui se manifeste par des troubles physiques et psychologiques (vomissements, pleurs, angoisses).
 
Si la cause de ce mal-être reste difficile à déterminer, certains enfants seraient plus à risque d'être touchés par la phobie scolaire. Les petits souffrant de troubles de l'apprentissage à l’instar de dyslexie, dysphasie ou encore dyspraxie, sont ainsi plus souvent confrontés à la peur de l’échec, qui peut elle-même mener à la phobie. De très bons élèves qui subissent une pression trop importante de la part de leurs parents peuvent également se trouver en proie à la phobie scolaire. Mais la phobie scolaire ne saurait se limiter à une question de capacités et de devoirs. Certains petits phobiques sont ainsi tétanisés à l'idée de quitter leurs parents ; d'autres ont été victimes de harcelement à l’école...
 
Dès lors, à quoi identifie-t-on la phobie scolaire ? Comment aider son enfant à surmonter sa peur de l’école ? Quelles peuvent être les conséquences d’une déscolarisation ? Témoignage et décryptage dans notre dossier spécial.


Pour en savoir plus : La phobie scolaire décryptée - Magicmaman.com

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 10:35
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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 12:09

11666639.jpgUne semaine chez maman, une semaine chez papa… La loi du 4 mars 2002 s’installe doucement mais sûrement dans les mœurs, et plus encore dans les milieux urbains et aisés. Explication.
 
Si “la résidence de l’enfant peut être fixée en alternance au domicile de chacun des parents ou au domicile de l’un d’eux”, “chacun des pères et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent”(articles 373-2 du Code Civil). Pourtant, dix ans après la promulgation de cette même loi, l’impact psychologique d’une telle mesure sur l’enfant divise toujours autant pédopsychiatres, associations, juges et parents. Car au-delà des querelles intestines entre parents séparés, c’est bien de l’équilibre de l’enfant dont il s’agit. Alors, comment faire pour que ce mode de vie 50/50 se passe au mieux pour l’enfant ? Le pédopsychiatre Patrice Huerre* nous livre quelques éléments de réponse.
 
PsychoEnfants : Estimez-vous que la garde alternée constitue une bonne alternative?
 
Patrice Huerre : Avant toute chose, tout parent séparé doit toujours garder à l’esprit : “lorsqu’on est seul à s’occuper de son enfant,  l’enfant a toujours un autre parent”. Maintenant, il est très difficile de faire des généralités. Si ce mode de garde peut tout à fait convenir à certains, il peut s’avérer tout aussi nocif pour d’autres. Il est une multitude de paramètres qui rentrent en ligne de compte.
 
P.E. : Ces paramètres, quels sont-ils?
 
P.H. : En premier chef, la dimension géographique. Si l’enfant est soumis à des distances importantes entre les deux domiciles, cela peut grandement perturber son quotidien. L’enfant doit pouvoir conserver ses habitudes : amis, école, activités,… Par ailleurs, le contexte conjugal dans lequel s’opère ce mode de garde, constitue un paramètre de taille : l’enfant est-il soumis à une guerre des tranchées entre ses parents ? Ou des derniers sont-ils davantage animés par le souci du bien-être de leur enfant?  En cela, il est essentiel que les deux parents puissent parvenir à s’extraire de leur statut conjugal pour pouvoir assumer leur rôle parental, établir ce qu’il y a de mieux pour l’enfant. Et si besoin est : faire appel à un médiateur.
 
P.E. : Y-a-t-il un âge à partir duquel on peut envisager ce mode de garde?
 
P.H. : Il me semble à partir du primaire, voire de la maternelle, si les parents habitent le même quartier. A noter par ailleurs que l’enfant doit pouvoir disposer d’un univers à lui sans avoir à migrer en permanence d’un domicile à l’autre. C’est pourquoi une durée de séjour d’”une semaine chez l’un, une semaine chez l’autre”, constitue plutôt une bonne alternative. Il est essentiel par ailleurs que l’enfant puisse disposer d’un territoire qui lui est propre dans chaque domicile : d’une chambre équipée de ses jouets et autres. En clair, la  résidence alternée ne pose pas de problème si toutefois plusieurs conditions sont réunies : proximité géographique, souplesse dans les rapports entre les parents, continuité dans l’environnement,…
 
P.E. : Comment pallier l’absence temporaire de l’autre parent ?
 
P.H. : Le parent “absent” doit pouvoir être en mesure de croiser son enfant durant la semaine où il séjourne chez l’autre. Ce qui passe par une série d’attentions : lui faire un bisou à la sortie de l’école, l’accompagner à son match de foot le samedi après-midi,…autant de petites occasions de rendre la séparation temporaire plus souple, plus viable, plus équilibrée. Encore une fois, tout cela dépend véritablement de la capacité des parents à distinguer leur conflit de leur parentalité.
 
P.S. : Vous considérez la résidence alternée comme une bonne alternative pour les enfants âgés de plus de 3 ans. Mais alors qu’en est-il des tout-petits ?
 
P.H. : Durant les premières années de vie, le bébé a besoin d’une permanence, d’un lieu fixe. C’est pourquoi mieux vaut proscrire ce mode de garde toute la période durant laquelle le petit a un fort besoin de repères pour grandir sereinement. Le bébé n’est pas en mesure de jouer avec les différences. A noter par ailleurs que – durant une bonne partie du siècle passé notamment – on a considéré que le père ne pouvait s’occuper de l’enfant. Ce rôle était dévolu à la mère exclusivement. Or, on a peu à peu réalisé que le petit avait surtout besoin d’une figure d’attachement, d’une personne qui réponde à ses besoins : le bercer, le nourrir, le câliner,…Et ce, peu importe le sexe du parent.
 
P.E. : Vous insistez sur le caractère indispensable de la “permanence” pour les tout-petits. Mais alors comment pallier l’absence de l’autre parent?
 
P.H. : Il est indispensable que l’autre parent existe aux yeux de l’enfant, que “le parent soit toujours présent quand il est absent”. Au-delà des visites régulières  - soit deux à trois fois par semaine – il est essentiel que le parent puisse évoquer positivement le parent “absent” :  photos, appels téléphoniques,…il s’agit de créer des liens au-delà de l’absence physique, de construire une image positive du parent “absent”. Tout ceci relève encore de la capacité des parents à assumer une coparentalité, hautement déterminante pour la santé psychologique de l’enfant.
 
*Pédopsychiatre spécialisé dans le champ de l’enfance et de l’adolescence. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont “pères solos, pères singuliers?” paru aux éditions Albin Michel

 

http://psychoenfants-actu.com/2012/08/23/garde-alternee-10-apres/

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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 12:42

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Bébé Vierge

Un enfant sage
Bébé Vierge est si discret qu'il se laisserait presque oublier... Ce nourrisson raisonnable et concentré observe et devance souvent vos envies. Ne vous demandez pas s'il comprend, il a déjà tout enregistré : l'heure du lever, l'odeur du biberon, l'approche du bain, le cérémonial du coucher... Inquiet et facilement angoissé, il s'attache aux horaires et se laisse facilement troubler par les changements d'espace. L'enfant Vierge déteste déjà le laisser-aller et son sens pratique presque inné pourrait bien vous épater. Il attire votre attention de façon détournée (pour ne pas trop vous déranger). Les maux psychosomatiques sont chez lui comme des tics : ce nerveux déguisé sait se dénicher toutes les maladies du monde pour faire passer un message. Ses premiers pas comme son premier mot seront extrêmement soignés. A l'école, il est timide mais attentif : apprendre est déjà son dada et la discipline, sa ligne de conduite. C'est d'ailleurs seulement en accumulant les tableaux d'honneur qu'il prendrait bien quelques allures de meneur.

 
 
A vous de jouer !

- Prouvez-lui que son rôle au sein de la maison est important car le sentiment d'être utile lui est essentiel pour exister.
- Soyez toujours attentive à lui, même s'il ne vous pose pas de problèmes. Plus que d'autres encore, il a besoin de réconfort, d'encouragements et de félicitations.
- Tenez compte de ses efforts. S'il passait inaperçu à vos yeux, il cultiverait simplement le sentiment de n'être pas à la hauteur...


Pour en savoir plus : Astro bébé - Famili.fr

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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 12:24

Etre père sur le tard pourrait engendrer des problèmes de santé pour l’enfant, selon une étude publiée dans la revue scientifique britannique Nature.

Chez les femmes, les possibilités de faire un bébé diminuent fortement après 38 ans. D’ailleurs, après 43 ans, les fécondations in vitro (VIF) ne sont plus remboursées par la Sécurité sociale. Mais chez les hommes, cette donnée ne les concerne guère (mais quelles sont les raisons qui les poussent à devenir père sur le tard ? L’analyse de Myriam Szejer). Pour autant, leur âge serait loin d’être sans impact sur la santé de leur enfant, comme le suggère une récente étude islandaise.grandfather_grandson.jpg
 
Plus le père est âgé, plus le génome mute
 
Pour les besoins de l’étude, le génome (ensemble des gènes portés par les chromosomes, ndlr) de 78 enfants atteints de troubles autistiques ou de ou de schizophrénie et de leurs deux parents, ont été passés au peigne fin. Kari Stefansson, l’un des auteurs de l’étude, a démontré que plus le papa est âgé, plus ses spermatozoïdes sont porteurs de mutations, et donc plus il y a de risque pour lui de transmettre ces anomalies génétiques à son enfant. L’âge de la mère n’influe pas sur cette question, car les ovules sont présents dans les ovaires dès la naissance, à la différence des spermatozoïdes, qui sont produits chaque jour, pendant toute la vie adulte.
 
La science à tâtons
 
Dans les années 80, d’autres études avait apporté les preuves d’une forte composante génétique dans le trouble de l’autisme, sans toutefois parvenir à isoler les « gènes de l’autisme ». Les scientifiques s’étaient alors éloignés des inspirations psychanalytiques des années 70, selon lesquelles le trouble de l’autisme était attribué à une mauvaise relation mère/enfant, une vision culpabilisante pour toute une génération de maman d’enfants autistes. La publication de ces nouvelles données met également à mal d’autres études, attribuant le diabète ou l’obésité de la femme enceinte à un risque plus élevé d’avoir un enfant autiste. Si l’on remonte dans le temps, l’un des pionniers de la génétique, Jack Haldane, avait démontré dans les années 30 que les pères transmettaient davantage l’hémophilie que les mères, tout en admettant qu’il était « difficile d’apprécier comment cela pouvait être prouvé ou pas dans les années à venir ».
 
97 % des mutations dues à l’âge du père
 
Et ce jour est arrivé. En effet, un enfant hérite d’une partie du patrimoine génétique de son père, et de sa mère. Pendant la fécondation, son génome va se mettre en place et « muter ». Pendant cette période, on observe une « part de création », ce que l’on appelle les mutations spontanées, qu’aucun des deux parents ne possède dans leur patrimoine génétique et qui surviennent lors de la formation ou de la vie des gamètes d’un des deux parents, le plus souvent chez le père. Le problème est que ces dernières peuvent générer certaines maladies et/ou des malformations congénitales. Il faut savoir que le génome d’un bébé contient environ 60 mutations spontanées dont 15 “transmises” par la mère et le reste par le pères. L’étude islandaise démontre que le nombre de mutations varie en fonction de l’âge du père : 25 mutations pour un homme de 20 ans, 65 pour un homme de 40 ans. On imagine à 60 ans ! “Nous avons été surpris de découvrir que l’âge du père était extrêmement important”, avec 97,1 % des nouvelles mutations spontanées dues à l’âge dans un couple attribuables au père, précise M. Stefansson.
 
Des données sociologiques corroborent les résultats de cette étude. En effet, dans les années 70,  l’âge du père à la procréation a baissé au XXe siècle pour atteindre son niveau le plus bas en Islande. Il est ensuite remonté
http://psychoenfants-actu.com/2012/08/24/autisme-lage-du-pere-pointe-du-doigt/

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 08:34

Bilingual-Kids.jpgL'emission E=M6 du 19 août nous apprend pourquoi il est IMPORTANT d'apprendre une langue étrangère le plus tôt possible. Pourquoi?
 1)La partie du cerveau qui permet l'apprentissage du language est grande ouverte jusqu'à 7 ans, ensuite elle se referme! Pour l'enfant ce n'est donc pas une contrainte d'apprendre une autre langue que sa langue maternelle. C'est pareil et naturel. AU BOUT D'UN MOIS L'E
NFANT PEUT DEJA S'EXPRIMER.
 2)Le conduit vocal n'est pas encore formé, donc les cordes vocales s'adaptent aux différents octaves d'une autre langue donc moins ou peu d'accent.
 Saviez -vous que les colons emmenaient des enfants avec eux dans les nouvelles colonies? Les conquérants les laissaient sur place car ils savaient qu'après quelques mois, ceux-ci étaient capables de parler la langue locale ce qui faisaient d'eux d'excellents interprètes.
 N'attendez plus et commencez l'année scolaire en offrant la possibilité d'apprendre l'anglais à votre enfant avec la méthode LUDOLIDIA http://www.ludo-lidia.com/. 1 EURO l'épisode, avec maîtresse d'anglais et sa marionnette. Essayez et vous verrez des résultats rapides.

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9 août 2012 4 09 /08 /août /2012 12:35

Non assimilation des connaissances de base, manque de maturité, environnement familial instable,…Les causes au redoublement peuvent être multiple. Si ce dernier s’avère parfois bénéfique, il n’est pas toujours porté aux nus, et parfois, combattu par certains. Ceux-là même l’estiment néfaste pour la santé psychologique de l’élève. Alors comment faire dudit “échec”, une réussite? La psychologue Vanessa Lalo nous apporte quelques éléments de réponse.
 
PsychoEnfants : Selon vous, le redoublement est-il une bonne chose en soi?
 
Vanessa Lalo : Nous ne pouvons en aucun cas établir de généralisations tant les raisons au redoublement et les profils diffèrent. S’il peut être très bénéfique pour certains, son impact pourrait s’avérer désastreux pour d’autres. Tout dépend du profil de l’élève. Si certains auraient risqué la spirale de l’échec s’ils n’avaient pas redoublé, d’autres n’y ont malheureusement pas trouvé le salut attendu. En revanche, ce que je constate avant toute chose, ce sont les difficultés des établissements eux-mêmes. Le manque de personnel d’encadrement, d’orientation et d’accompagnement psychologique, est criant, rendant ainsi les décisions quelque peu arbitraires.0jdl0f54cd12ai02.jpg
 
P. E. : Mais alors comment distinguer un “bon” redoublement d’un “mauvais”?
 
V.L. : Il convient en premier chef, d’identifier les causes aux mauvais résultats de l’élève. Elles peuvent être multiples. Les difficultés rencontrées sont-elles d’ordre intellectuel et/ou émotionnel? Relèvent-elles de problèmes de stabilité rattachés à l’environnement familial et/ou amical? Y-a-t-il une fragilité d’ordre psychologique? C’est pourquoi il est nécessaire d’établir un diagnostic très précis au cas par cas, car on a trop souvent tendance à mettre les enfants dans des cases. Par ailleurs, on ne peut faire redoubler un élève sans en avoir mesurer l’impact psychologique. C’est trop important. Dans tous les cas, les décisions ne doivent freiner le développement de l’élève.
 
P.E. : Y-a-t-il un type d’élèves pour lesquels le redoublement peut s’avérer être un atout?
 
V.L. : Il peut être profitable pour des élèves dits immatures ou alors d’autres ayant présenté des difficultés à se situer par rapport aux autres élèves de leur classe. A noter cependant que ceux-là ne constituent qu’une tranche infime du panel concerné.
 
P.E. : Un type d’élèves pour lesquels le redoublement pourrait s’avérer néfaste?
 
V.L. : Pour les “surdoués” notamment. Malheureusement, faute de ne les avoir diagnostiqué à temps, on tend à les mettre dans la même case que les mauvais élèves. Or il ne s’agit en aucun cas de cela. Bien au contraire. Le travail demandé étant bien en-dessous de leurs capacités intellectuelles. A noter également le cas des élèves turbulents. S’ils n’investissent pas leur redoublement comme une seconde chance mais comme une sanction, il est fréquent qu’ils reproduisent le même schéma en amplifiant l’échec. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on évite de les faire redoubler et qu’on préfère opter pour le transfert vers un autre établissement, pour changer d’environnement.
 
P.E. : Comment faire du redoublement une étape profitable de la scolarité de l’élève?
 
V.L. : Il est important que l’élève puisse saisir cette seconde chance qui lui est offerte, qu’il puisse s’approprier sa scolarité. Mais surtout, il lui faut réaliser qu’il ne s’agit là en aucun cas d’une punition, mais d’une occasion unique de se hisser la tête hors de l’eau et de repartir d’un bon pied. Une manière aussi de reprendre confiance en ses capacités. Par ailleurs, le  rôle des parents est primordial. Il leur faut investir cette alternative positivement. A noter que le redoublement peut également être l’occasion pour l’élève d’élargir un champ d’activités extra-scolaires jusque-là étouffé par les seuls cours en établissement scolaire.
 
P.E. : Et enfin, quels conseils donneriez-vous à un élève qui redouble en cette période estivale?
 
V.L. : Je lui conseillerais éventuellement d’en profiter pour combler quelques lacunes durant les vacances, de sorte que la rentrée soit plus souple, plus facile. Et que cette année puisse lui profiter à tout point de vue : réussites, rencontres, projets à court et long terme, prise de confiance… A noter toutefois qu’il faut aussi savoir lâcher du lest de temps à autres. Ainsi ces vacances peuvent être aussi l’occasion de se poser les bonnes questions sur les raisons de son échec et de prendre du recul. Un trop plein de révisions ne laissant pas assez de place au repos, loisirs et autres activités positives risque également de renforcer une position d’échec car “les autres s’amusent et moi je dois travailler car je suis nul…”. Il s’agit donc de trouver le juste milieu entre l’effort et les loisirs.

http://psychoenfants-actu.com/2012/08/08/comment-faire-du-redoublement-un-atout/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 août 2012 3 08 /08 /août /2012 10:42

5.jpgVotre petit poussin suce encore et toujours son pouce ? Ne vous inquiétez pas, cette habitude, que prennent en grande majorité les enfants, ne doit pas vous alarmer outre mesure. Sucer son pouce est un comportement normal, dans le sens où votre petit a pris le pli dans sa petite enfance. Pourtant, si vous constatez qu'il le met moins souvent dans sa bouche au fil du temps, de nombreuses questions demeurent : ne serait-ce pas un signe d'immaturité de sa part ? Quelles seront les conséquences sur sa dentition quand il sera plus grand ? Risque-t-il d'avoir un appareil dentaire une fois adolescent ?

Si dès la rentrée à la maternelle, votre loulou suce logiquement moins son pouce - car il est plus sollicité par des activités -,  il se peut qu'il conserve cette habitude le soir avant de se coucher par exemple. Pourquoi ? Dans la plupart des cas, les petits qui mettent leur pouce en bouche tardivement veulent recréer une sensation de bien-être et de calme, de se préparer au sommeil de l'enfant. Le pouce permet aussi à l'enfant de se recentrer sur lui-même, quand il ressent un petit malaise : déménagement, arrivée d'un autre bébé dans la famille, entrée dans une nouvelle école, etc. Dans certains cas, les enfants qui sucent leur pouce peuvent aussi témoigner d'un profond ennui. Aux parents d'adapter leur comportement pour trouver des idées de sorties ludiques. Magic maman.com 

 

Afin d'aider votre enfant à passer ce cap parfois difficile, regardez avec lui l'histoire de Ludo et Lidia" Les Doudous et les Tétines ne sont pas éternels. Vous y trouverez de bonnes idées pour lâcher prise ainsi qu'une petite vidéo d'un enfant en situation. Le tout en chanson sur un rythme twist qui fera dandiner votre bout'chou. En vente sur: www.ludo-lidia.com

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7 août 2012 2 07 /08 /août /2012 17:47

 Voulez-vous que votre enfant apprenne l'anglais facilement, tout en s'amusant?

 

Il aura une longueur d'avance à l'école et sera donc fier de lui et vous aussi.

 

Pour seulement 28 euros, des épisodes  de 15 minutes avec une marionnette" Basile" et sa maîtresse d'anglais aideront votre enfant à se familiariser avec cette langue incontournable de manière ludique.

 

 Pourquoi attendre les cours à l'école? Il sera directement plongé dans l'atmosphère scolaire; grammaire, écriture. ce qui pourrait lui enlever l'envie.

 

2 à 3 fois par semaine suffisent. Épisodes à basile-english-copie-1, nul besoin de ce rendre à un atelier.

 

Les nombreux témoignages reçus sont plus que positifs. Ils aiment ça et en redemandent.

 

1 euro par épisode ou 25 euros pour 28. N'attendez plus.

 

Sa vie sociale et professionnelle futures sera remplie d'opportunités de parler l'anglais. Ouvrez lui la porte.

sur wwww.ludo-lidia.com

 

 

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7 août 2012 2 07 /08 /août /2012 17:43

Sans être forcément des geeks, les enfants et les adolescents sont des “accélérateurs” de la numérisation dans les foyers où ils vivent, selon une récente étude conjointe Médiamétrie/GfK menée sur 22 000 foyers.
 
On les savait très à l’aise sur internet, raison pour laquelle les enfants et ados d’aujourd’hui sont plus connectés à internet que la moyenne des foyers français. Nés après la « génération Y » (celle des années 80), ils surfent sans complexes sur le net, sans forcément se soucier des conséquences sur leur santé ou des dangers liés à l’usage d’internet.
 s_MLV_v_O_f_37067972_1059.jpg
2 foyers sur 3 ont accès à internet
 
L’étude observe que “15,3 millions de foyers ont un chef de famille âgé de 50 ans ou plus en France, ce qui représente plus de la moitié des foyers.  Près de 2 foyers sur 3 dont le chef de famille a 50 ans ou plus ont désormais accès à internet. La progression dans ces foyers est rapide: +10% en un an (contre 5% pour l’ensemble des foyers) et surtout +77% en 5 ans (contre 58% pour l’ensemble), est-il indiqué.
 
Les jeunes, « accélérateurs de connexion »
 
“Ce phénomène est très lié à leur situation familiale, notamment à la présence d’enfants et adolescents, “accélérateurs de connexion”, soulignent GfK et Médiamétrie. En effet, la différence est flagrante : 95,7% des foyers dont le chef de famille a 50 ans et plus, et qui comptent au moins un enfant de moins de 15 ans, disposent d’un accès internet. Cette proportion descend à seulement 38% pour les plus de 50 ans vivant seuls dans leur foyer, indique l’étude.
 
Parents, soyez vigilants !
 
Si les enfants et les ados introduisent du « numérique » dans votre maison (ordinateurs, Smartphones, tablettes tactiles…), cela ne signifie pas pour autant qu’il faille abdiquer certaines règles. D’autant plus qu’une étude britannique a démontré que plus de deux heures par jour de télé ou d’ordinateur nuiraient à la santé psychologique de nos bambins, et que ce temps passé devant les écrans n’était pas compensable avec la pratique d’une activité physique. Donc, surfer (sur le net) ou courir, il faut choisir ! Pour mémoire, voici quelques règles de bon sens pour un internet sans risques rappelées par l’association Action Innocence :
 
- Installer un contrôle parental
 
- Dialoguer avec l’enfant pour savoir sur quel site il va, lesquels lui plaisent le plus
 
- Éviter de le laisser seul devant son écran
 
- Fixer des horaires à respecter
 
- Insister sur le fait que ce qui est sur le web n’est pas toujours vrai
 
- Lui dire de ne jamais donner ses nom,  âge, adresse ou numéro de téléphone
 
- L’inviter à parler des images choquantes qu’il a pu voir
 
- Insister sur le risque d’une rencontre avec un interlocuteur connu via Internet

 

Psychoenfants par Caleido

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Présentation

  • : Le blog de ludo-lidia.over-blog.com
  • : Publications d' articles, d'astuces et d'anecdotes liés à l'enfance et l'adolescence. Evènements mensuels expliqués aux petits sous forme de vidéos avec mes marionnettes Cécile et Basile. Invitation voir mon site pour enfants dès 3 ans WWW.ludo-lidia.com. Adepte de l'enseignement précoce d'une 2ème langue car je suis maitresse d'anglais pour les petits.
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  • J'enseigne l'anglais aux petits dès 3 ans à l'école mais aussi sur mon site WWW.ludo-lidia,com. J'aime faire de petites vidéos sur les évènements du mois avec mes marionnettes Cécile et Basile. Je poste des articles:enfance et ados.
  • J'enseigne l'anglais aux petits dès 3 ans à l'école mais aussi sur mon site WWW.ludo-lidia,com. J'aime faire de petites vidéos sur les évènements du mois avec mes marionnettes Cécile et Basile. Je poste des articles:enfance et ados.

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